Un article en ligne du site réunionnais www.ipreunion.com explique que Stéphane Ciccione, le directeur de l’observatoire Kélonia, « espère que la loi interdisant les sachets à usage unique à partir du mois de mars 2016 limitera la présence de plastique dans les océans... et dans l'estomac des tortues marines. »
Du plastique dans l’estomac
Avant d’être relâchées dans l’océan, la première tortue « a été amenée à Kélonia blessée et afflaiblie », quant à la seconde, elle « a été récupérée par des pêcheurs au large de Sainte-Suzanne en février 2015 ». En effet, « celle-ci était emmêlée dans des cordages et ne parvenait plus à nager, ni à replonger, bien que les pêchers l’aient libérée. Après avoir été emmenée au centre Kélonia pour des radios et autres examens, la petite tortue, qui ne pesait qu’un peu plus de trois kilos, avait dans ses intestins des cordages en nylon ainsi que des matières plastiques. »
Stéphane Ciccione, le directeur de l’observatoire en arrive à de tristes conslusions, comme l’explique l’article : ainsi, « aujourd’hui, 95 % des tortues qui arrivent à Kélonia ont du plastique dans l’estomac. »
Le directeur assure : « Il y a 4 ans, une tortue sur trois avait du plastique dans les intestins. Certaines espèces le supportent mieux parce qu’elles mangent des coquillages. Mais les espèces côtières de La Réunion (tortues vertes et imbriquées) ont des occlusions intestinales et meurent de faim. »
En effet, l’article souligne que « le large de l’océan Indien n’est pas épargné par la pollution plastique. La matière a été retrouvée dans l’estomac de tortues vivant au plus loin de nos côtes. Phénomène qui inquiète le directeur, qui se dit pessimiste quant à l’amélioration de l’état des océans. »
Et « le cas des tortues n’est pas isolé, bien que le contenu de leur estomac soit semblable à une poubelle. » Le directeur affirme ainsi qu’ « on y a retrouvé des bouchons de bouteilles, des jouets, ou encore des briquets. »
Lire l'intégralité de l'article ici.
Stéphane Ciccione, le directeur de l’observatoire en arrive à de tristes conslusions, comme l’explique l’article : ainsi, « aujourd’hui, 95 % des tortues qui arrivent à Kélonia ont du plastique dans l’estomac. »
Le directeur assure : « Il y a 4 ans, une tortue sur trois avait du plastique dans les intestins. Certaines espèces le supportent mieux parce qu’elles mangent des coquillages. Mais les espèces côtières de La Réunion (tortues vertes et imbriquées) ont des occlusions intestinales et meurent de faim. »
En effet, l’article souligne que « le large de l’océan Indien n’est pas épargné par la pollution plastique. La matière a été retrouvée dans l’estomac de tortues vivant au plus loin de nos côtes. Phénomène qui inquiète le directeur, qui se dit pessimiste quant à l’amélioration de l’état des océans. »
Et « le cas des tortues n’est pas isolé, bien que le contenu de leur estomac soit semblable à une poubelle. » Le directeur affirme ainsi qu’ « on y a retrouvé des bouchons de bouteilles, des jouets, ou encore des briquets. »
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