L’espoir s’amenuise au fur et à mesure mais les recherches se poursuivent. « Vingt-quatre heures après la violente explosion qui a provoqué l’effondrement du 17 rue de Tivoli, dans le 5e arrondissement de Marseille, les marins-pompiers ont découvert, à la lumière de projecteurs puissants et aidés de leurs chiens de recherche, deux premiers corps dans les décombres de ce bâtiment de quatre niveaux et de cinq appartements, littéralement soufflé. Quelques heures plus tard, quatre autres victimes étaient successivement repérées. Amenuisant chaque fois un peu plus l’éventualité de retrouver des survivants sur le total de huit personnes recherchées, établi la veille par le parquet », raconte le correspondant du « Monde » à Marseille.
Une violente explosion a eu lieu dans la nuit de dimanche à lundi et les enquêteurs de la police judiciaire devront déterminer s’il s’agit bien d’une fuite de gaz comme cela semble être le cas. « L’unité spécialisée dans l’analyse des victimes de catastrophes, basée à Ecully (Rhône), est arrivée à Marseille dimanche pour accomplir ce travail. Selon une source policière citée par La Provence, l’ADN de proches des disparus a été prélevé pour comparer avec celui des victimes. Dans les conversations des riverains, des prénoms filtrent pour évoquer les disparus du 17. On parle d’Antoinietta, 88 ans, qui vivait dans le quartier « depuis toujours ». De Jacky et d’Anna, deux autres octogénaires. De Marion, une trentenaire, au deuxième étage… Seule nouvelle positive de la journée, le neuvième disparu, évoqué la veille par la procureure de la République de Marseille, Dominique Laurens, a donné signe de vie à ses proches. Il avait quitté la ville pour le week-end », raconte le quotidien national.
Les marins pompiers ont piloté les opérations qui ont donné lieu au déplacement de 700 m3 de décombres en moins d’une journée tandis que plus de 200 personnes, résidents d’une quarantaine d’immeubles des parages ont été évacués.
Lire en intégralité le reportage du « Monde »
Une violente explosion a eu lieu dans la nuit de dimanche à lundi et les enquêteurs de la police judiciaire devront déterminer s’il s’agit bien d’une fuite de gaz comme cela semble être le cas. « L’unité spécialisée dans l’analyse des victimes de catastrophes, basée à Ecully (Rhône), est arrivée à Marseille dimanche pour accomplir ce travail. Selon une source policière citée par La Provence, l’ADN de proches des disparus a été prélevé pour comparer avec celui des victimes. Dans les conversations des riverains, des prénoms filtrent pour évoquer les disparus du 17. On parle d’Antoinietta, 88 ans, qui vivait dans le quartier « depuis toujours ». De Jacky et d’Anna, deux autres octogénaires. De Marion, une trentenaire, au deuxième étage… Seule nouvelle positive de la journée, le neuvième disparu, évoqué la veille par la procureure de la République de Marseille, Dominique Laurens, a donné signe de vie à ses proches. Il avait quitté la ville pour le week-end », raconte le quotidien national.
Les marins pompiers ont piloté les opérations qui ont donné lieu au déplacement de 700 m3 de décombres en moins d’une journée tandis que plus de 200 personnes, résidents d’une quarantaine d’immeubles des parages ont été évacués.
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