Les robots sont partout. Dans les programmes des réseaux sociaux, dans les voitures autonomes, les ordinateurs, les téléphones sont des exemples parmi tant d’autres où l’enjeu numéro un est l’intégration des technologies de robots ou d’intelligence artificielle.
Dans une tribune sur le site du journal Les Echos, deux consultants du réseau Company Doctors s’amusent à imaginer le quotidien dans une petite décennie : « Juillet 2025 à Paris. Ce matin, les « news bots » (robots d'information) ne parlent que de ça : la grande manifestation des conducteurs Uber contre les voitures sans chauffeur que l'entreprise commence à déployer dans toutes les grandes villes du monde. Grosse pagaille en perspective. « Le Parisien » annonce une couverture spéciale de l'événement, minute par minute sur sa messagerie conversationnelle automatisée, tandis que « Les Echos » font leur une sur le grand débat lancé hier par la ministre de l'Education : la fin de l'apprentissage de l'écriture manuscrite à l'école. »
Un exercice d’anticipation qui n’a rien de farfelu tant les robots s’invitent dans notre quotidien. « Finance, bio-industries, médias, logistique, marketing, sécurité... Tous les secteurs commencent à se frotter à la robotisation. Et cette révolution-là est bien différente de celle qu'a connue l'industrie dans les années 1970-1980, quand apparaissaient sur les chaînes de montage des robots soudeurs, peintres ou assembleurs » expliquent-ils.
Dans une tribune sur le site du journal Les Echos, deux consultants du réseau Company Doctors s’amusent à imaginer le quotidien dans une petite décennie : « Juillet 2025 à Paris. Ce matin, les « news bots » (robots d'information) ne parlent que de ça : la grande manifestation des conducteurs Uber contre les voitures sans chauffeur que l'entreprise commence à déployer dans toutes les grandes villes du monde. Grosse pagaille en perspective. « Le Parisien » annonce une couverture spéciale de l'événement, minute par minute sur sa messagerie conversationnelle automatisée, tandis que « Les Echos » font leur une sur le grand débat lancé hier par la ministre de l'Education : la fin de l'apprentissage de l'écriture manuscrite à l'école. »
Un exercice d’anticipation qui n’a rien de farfelu tant les robots s’invitent dans notre quotidien. « Finance, bio-industries, médias, logistique, marketing, sécurité... Tous les secteurs commencent à se frotter à la robotisation. Et cette révolution-là est bien différente de celle qu'a connue l'industrie dans les années 1970-1980, quand apparaissaient sur les chaînes de montage des robots soudeurs, peintres ou assembleurs » expliquent-ils.
La place de la responsabilité
De nouvelles questions se posent au fur et à mesure que les logiciels perfectionnés et robots peuvent remplacer l’homme dans l’accomplissement des tâches. C’est ainsi qu’une situation, aussi ancienne que les machines, semble prendre une nouvelle dimension : « Une nouvelle division du travail commence même à se dessiner. Aux robots, les tâches réplicables et automatisables (traitement des images, des formes, des visages, du langage, des données, des chiffres ; services de transport utilitaires ; aide au diagnostic, etc.). Aux humains, l'esprit d'entreprise, la créativité, l'émotion, l'intuition, la stratégie (et encore...) » expliquent les auteurs.
Dans le domaine de l’emploi, par exemple, on estime que les postes de 40% des travailleurs français qui n’ont pas le bac sont menacés par la robotisation. Du côté des solutions les deux spécialistes estiment que « chaque entrepreneur, chaque manager devra se questionner sur sa propre responsabilité lors d'une prise de décision, quand l'humain et l'automatisation sont en balance. Il ne s'agit pas de rejeter les robots, juste de les inclure dans une nouvelle forme de responsabilité sociale de l'entreprise. »
Lire en intégralité l’analyse sur le site des Echos
Dans le domaine de l’emploi, par exemple, on estime que les postes de 40% des travailleurs français qui n’ont pas le bac sont menacés par la robotisation. Du côté des solutions les deux spécialistes estiment que « chaque entrepreneur, chaque manager devra se questionner sur sa propre responsabilité lors d'une prise de décision, quand l'humain et l'automatisation sont en balance. Il ne s'agit pas de rejeter les robots, juste de les inclure dans une nouvelle forme de responsabilité sociale de l'entreprise. »
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