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« Tesla ne peut pas minimiser les questions des consommateurs », titre un éditorial de l’agence d’information publique Chine nouvelle. Un article qui sonne comme un coup de pression pour le constructeur automobile. Fort d’une communication arrogante et tape à l’œil, la marque n’est pas à la hauteur des questions que posent les incidents techniques dans le deuxième marché au monde.
Les réponses étaient attendues ne serait-ce que pour rassurer les consommateurs chinois. En avril dernier les ventes ont baissé de 27% en réaction à des incidents techniques dénoncés par des consommateurs. « Mais la marque d’Elon Musk n’est pas connue pour sa modestie. En 2020, après l’explosion d’une batterie, Tesla accuse le courant fournit par State Grid, le fournisseur d’électricité, avant de présenter ses excuses à l’entreprise d’Etat. En octobre 2020, le régulateur ordonne à Tesla de rappeler 29 193 véhicules importés depuis les Etats-Unis pour un problème de suspensions. Tesla s’exécute, mais répond à l’administration de la sécurité des autoroutes que « l’origine du problème vient des abus des conducteurs ». Malgré l’avertissement des autorités en février, Tesla semble alors camper sur ses positions » rapporte Le Monde .
L’approche du groupe des différents incidents relevés est pour le moins maladroite. Car par son arrogance, Tesla suscite une méfiance particulière à chaque incident. Le cercle vicieux est alors indéniable et à chaque accident ou défaut technique le constructeur sera sur le banc des accusés.
Ces dernières semaines la stratégie a changé face aux pressions populaires et à l’injonction de la Chine à collaborer pour des enquêtes suite à des accidents. « La marque a aussi promis que les données concernant les clients chinois ne sortaient pas du territoire et annoncé la création d’une plate-forme permettant aux propriétaires de Tesla d’accéder à leurs données » ajoute le quotidien français. Peut-être que la marque d’Elon Musk commence enfin à comprendre que les consommateurs attendent plus de fiabilité pour une voiture qu’un téléphone connecté.
Les réponses étaient attendues ne serait-ce que pour rassurer les consommateurs chinois. En avril dernier les ventes ont baissé de 27% en réaction à des incidents techniques dénoncés par des consommateurs. « Mais la marque d’Elon Musk n’est pas connue pour sa modestie. En 2020, après l’explosion d’une batterie, Tesla accuse le courant fournit par State Grid, le fournisseur d’électricité, avant de présenter ses excuses à l’entreprise d’Etat. En octobre 2020, le régulateur ordonne à Tesla de rappeler 29 193 véhicules importés depuis les Etats-Unis pour un problème de suspensions. Tesla s’exécute, mais répond à l’administration de la sécurité des autoroutes que « l’origine du problème vient des abus des conducteurs ». Malgré l’avertissement des autorités en février, Tesla semble alors camper sur ses positions » rapporte Le Monde .
L’approche du groupe des différents incidents relevés est pour le moins maladroite. Car par son arrogance, Tesla suscite une méfiance particulière à chaque incident. Le cercle vicieux est alors indéniable et à chaque accident ou défaut technique le constructeur sera sur le banc des accusés.
Ces dernières semaines la stratégie a changé face aux pressions populaires et à l’injonction de la Chine à collaborer pour des enquêtes suite à des accidents. « La marque a aussi promis que les données concernant les clients chinois ne sortaient pas du territoire et annoncé la création d’une plate-forme permettant aux propriétaires de Tesla d’accéder à leurs données » ajoute le quotidien français. Peut-être que la marque d’Elon Musk commence enfin à comprendre que les consommateurs attendent plus de fiabilité pour une voiture qu’un téléphone connecté.