Pour qu’une énergie renouvelable pèse dans la balance de la lutte contre le réchauffement, il faut que sa rentabilité soit une évidence. L’hydrogène, malgré son potentiel évident, n’est pas parvenu à démontrer qu’il pouvait être compétitif. « Certains voient dans l'hydrogène la solution à nos problèmes. Ils imaginent utiliser une électricité renouvelable -- comprenez éolienne ou solaire -- pour produire un hydrogène vert, riche en énergie. Et qui pourrait être stocké pour servir plus tard -- lorsque le vent ne souffle pas ou que le soleil ne brille pas -- de carburant à des piles à combustible. Avec pour unique déchet : de l'eau. L'ennui, c'est que l'électrolyse de l'eau mobilise beaucoup d'énergie. Ce qui explique pourquoi produire ainsi de l'hydrogène reste aujourd'hui coûteux et peu intéressant » explique Futura Science .
Pour rendre cette source d’énergie intéressante, des chercheurs du Trinity College de Dublin cherchent à identifier des catalyseurs compétitifs. « De nombreux travaux se sont concentrés sur les métaux efficaces, mais au coût prohibitif, beaucoup trop rares pour faire le gros du travail nécessaire pour produire suffisamment d’hydrogène pour la société. Nous nous sommes attelés à chercher une option viable à long terme. Et nous espérons que nous y parviendrons » explique l’un des auteurs de l’étude, chercheur à l’université irlandaise, Michael Craig.
« Cette fois, ils se sont reposés sur une approche combinatoire automatisée et sur une modélisation chimique quantique avancée pour identifier neuf combinaisons de métaux et de ligands -- des éléments qui collent les métaux pour générer les catalyseurs -- comme des pistes très prometteuses. Des pistes qui pourraient être explorées par l'expérience. Trois métaux ressortent comme étant particulièrement prometteurs : le chrome, le manganèse et le fer. Des milliers de catalyseurs basés sur ces composants clés vont désormais pouvoir être évalués au laboratoire pour leurs capacités », rapporte Futura Science.
Pour rendre cette source d’énergie intéressante, des chercheurs du Trinity College de Dublin cherchent à identifier des catalyseurs compétitifs. « De nombreux travaux se sont concentrés sur les métaux efficaces, mais au coût prohibitif, beaucoup trop rares pour faire le gros du travail nécessaire pour produire suffisamment d’hydrogène pour la société. Nous nous sommes attelés à chercher une option viable à long terme. Et nous espérons que nous y parviendrons » explique l’un des auteurs de l’étude, chercheur à l’université irlandaise, Michael Craig.
« Cette fois, ils se sont reposés sur une approche combinatoire automatisée et sur une modélisation chimique quantique avancée pour identifier neuf combinaisons de métaux et de ligands -- des éléments qui collent les métaux pour générer les catalyseurs -- comme des pistes très prometteuses. Des pistes qui pourraient être explorées par l'expérience. Trois métaux ressortent comme étant particulièrement prometteurs : le chrome, le manganèse et le fer. Des milliers de catalyseurs basés sur ces composants clés vont désormais pouvoir être évalués au laboratoire pour leurs capacités », rapporte Futura Science.