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Dans une configuration de 100% de renouvelable, les variations de consommation sont un casse-tête. Et s’il y avait besoins de le démontrer, le confinement a été une preuve de plus que ces variations peuvent être importantes. D’après RTE, durant les deux mois de confinement, la baisse de consommation a atteint entre 15 et 20%. Les centrales nucléaires se sont adaptées et les thermiques ont diminué leur activité. Cette baisse imprévue n’a donc pas été un problème.
« A l'avenir, cette adaptabilité de la production deviendra plus contrainte par l'accroissement de la part des énergies renouvelables dans le mix électrique, des énergies qui sont par nature variables, non pilotables et décentralisées. « La programmation pluriannuelle de l'énergie prévoit en 2028 un passage de 21 à 35 % d'énergies renouvelables dans l'électricité. Ce seuil est encore gérable », analyse Daniel Averbuch, responsable du programme stockage d'énergie à l'Ifpen. Mais au-delà de 2035, le spécialiste estime que l'augmentation des capacités de stockage deviendra une nécessité pour maintenir l'équilibre entre production et consommation de l'électricité. Déjà, plusieurs start-up testent leurs solutions et relèvent le défi à coup d'ingéniosité » rapportent Les Echos .
Le quotidien économique liste des astuces et technologies qui sont développées par des entrepreneurs. Elles méritent d’être découvertes car elles témoignent du fait que ce défi de stockage a bien été identifié comme le défi principal pour produire de l’énergie depuis du renouvelable en restant compétitif. Outre le bien connu projet d’utilisation des voitures électriques pour stocker sans développer de nouveau centre de stockages dédiés. Mais il y a d’autres idées ingénieuses de centrales de tailles modérées qui peuvent remplacer les centrales thermiques fossiles en termes d’ajustement à la demande. Utilisation de bassins, de tour qui produit de l’énergie cinétique font partie des inventions qui pourraient être des solutions.
Lire en intégralité l’article du quotidien Les Echos
« A l'avenir, cette adaptabilité de la production deviendra plus contrainte par l'accroissement de la part des énergies renouvelables dans le mix électrique, des énergies qui sont par nature variables, non pilotables et décentralisées. « La programmation pluriannuelle de l'énergie prévoit en 2028 un passage de 21 à 35 % d'énergies renouvelables dans l'électricité. Ce seuil est encore gérable », analyse Daniel Averbuch, responsable du programme stockage d'énergie à l'Ifpen. Mais au-delà de 2035, le spécialiste estime que l'augmentation des capacités de stockage deviendra une nécessité pour maintenir l'équilibre entre production et consommation de l'électricité. Déjà, plusieurs start-up testent leurs solutions et relèvent le défi à coup d'ingéniosité » rapportent Les Echos .
Le quotidien économique liste des astuces et technologies qui sont développées par des entrepreneurs. Elles méritent d’être découvertes car elles témoignent du fait que ce défi de stockage a bien été identifié comme le défi principal pour produire de l’énergie depuis du renouvelable en restant compétitif. Outre le bien connu projet d’utilisation des voitures électriques pour stocker sans développer de nouveau centre de stockages dédiés. Mais il y a d’autres idées ingénieuses de centrales de tailles modérées qui peuvent remplacer les centrales thermiques fossiles en termes d’ajustement à la demande. Utilisation de bassins, de tour qui produit de l’énergie cinétique font partie des inventions qui pourraient être des solutions.
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