Une exposition dans un lieu très passant pour sensibiliser. C’est le choix que l’Union international pour la conservation de la nature (UICN) a fait pour les récifs coraliens. Depuis le 15 septembre et jusqu’au 9 novembre, une exposition sur ce sujet est installée Gare de Lyon à Paris. « Les récifs coralliens, grandioses et pourtant fragiles, font partie des écosystèmes les plus menacés. Les spécialistes estiment qu'aujourd'hui plus de la moitié sont en situation critique. Les coraux sont en effet très sensibles aux modifications de leur milieu naturel. Ils supportent mal la hausse des températures, l'acidification des océans et les pollutions liées aux diverses activités humaines. Et quand le corail succombe, les espèces animales et végétales qui composent les communautés récifales sont en danger. Or celles-ci représentent un tiers de la biodiversité marine dans le monde » annonce le communiqué de présentation de l’exposition.
En montrant la beauté de ce patrimoine naturel, l’objectif est de souligner l’utilité de ces récifs. Qui sait en effet que mettre en danger les récifs de corail c’est mettre en danger les hommes ? C’est ce que souligne cette exposition « En effet, la vie d'un demi-milliard de personnes dépend de la bonne santé des récifs coralliens. Ces nurseries géantes qu'ils constituent sont essentielles aux poissons, et donc aux hommes qui s'en nourrissent. Plus largement, l'économie littorale des zones tropicales est directement tributaire de la protection des barrières de corail (tourisme, protection des côtes contre les cyclones...). »
Par ailleurs, les concepteurs de l’événement nous apprennent que la France abrite 10% des récifs et 20% des atolls du monde entier dans les Outre-mer. Des chiffres impressionnants puisque l’on apprend par la même occasion qu’un seul kilomètre de récifs dans ces territoires abrite autant d’espèces que l’ensemble des côtes de France métropolitaine. « La France détient ainsi une responsabilité locale, nationale et mondiale en matière de conservation des récifs et des mangroves et herbiers qui leur sont associés. L'Année Internationale pour les Récifs Coralliens (IYOR 2018) est une opportunité pour la France de sensibiliser le grand public, notamment métropolitain, sur cette responsabilité, et d'encourager tous les acteurs - qu'ils soient en métropole ou en outre-mer - à s'engager pour les préserver » appuie l’UICN.
En montrant la beauté de ce patrimoine naturel, l’objectif est de souligner l’utilité de ces récifs. Qui sait en effet que mettre en danger les récifs de corail c’est mettre en danger les hommes ? C’est ce que souligne cette exposition « En effet, la vie d'un demi-milliard de personnes dépend de la bonne santé des récifs coralliens. Ces nurseries géantes qu'ils constituent sont essentielles aux poissons, et donc aux hommes qui s'en nourrissent. Plus largement, l'économie littorale des zones tropicales est directement tributaire de la protection des barrières de corail (tourisme, protection des côtes contre les cyclones...). »
Par ailleurs, les concepteurs de l’événement nous apprennent que la France abrite 10% des récifs et 20% des atolls du monde entier dans les Outre-mer. Des chiffres impressionnants puisque l’on apprend par la même occasion qu’un seul kilomètre de récifs dans ces territoires abrite autant d’espèces que l’ensemble des côtes de France métropolitaine. « La France détient ainsi une responsabilité locale, nationale et mondiale en matière de conservation des récifs et des mangroves et herbiers qui leur sont associés. L'Année Internationale pour les Récifs Coralliens (IYOR 2018) est une opportunité pour la France de sensibiliser le grand public, notamment métropolitain, sur cette responsabilité, et d'encourager tous les acteurs - qu'ils soient en métropole ou en outre-mer - à s'engager pour les préserver » appuie l’UICN.