Les étudiants ne sont pas méfiants vis-à-vis de l’entreprise. « Pour les quelque 2 700 étudiants en fin de deuxième année d'études supérieure que nous avons interrogés, l'entreprise est notamment un « cœur économique », avec « un rôle central dans le dynamisme du monde », car c'est elle qui « crée les emplois », « fait avancer les causes », et c'est donc « par elle que le changement arrive » » explique Manuelle Malot, une responsable de l’EDHEC Business School dans un article publié par The Conversation et La Tribune . S’appuyant sur une étude publiée par l’école de commerce, elle assure que les étudiants interrogés ont pour la plupart une vision positive (69%) voire très positive (18%) de l’entreprise.
« Les futurs diplômés estiment que « l'entreprise a le pouvoir de transformer l'humain » en offrant un espace de dépassement. L'entreprise, perçue comme « un lieu de rencontres, de réseaux et de socialisation », est le lieu d'une aventure collective. Mais les jeunes diplômés estiment aussi que les entreprises détiennent le pouvoir économique et donc la responsabilité de changer les choses » précise Manuelle Malot.
D’autres éléments évalués par les étudiants interrogés montrent cependant qu’ils n’idéalisent pas totalement le monde professionnel. Contrairement au battage de communication sur l’évolution des pratiques managériales, ils sont ainsi 67% à considérer qu’en entreprise c’est encore la verticalité qui prime. Domaine dans lequel ils aspirent à des évolutions. « Parmi les transformations souhaitées, la principale concerne les relations de travail et le respect des personnes (57 %). Ils souhaitent ainsi le développement d'un management bienveillant et l'optimisation des conditions de travail, car « le bien-être permet de meilleurs résultats qu'une pression continue », souligne l'un des participants à l'enquête. La deuxième transformation souhaitée est relative au respect des principes du développement durable et de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) (46 %). Une tendance d'ailleurs plus marquée chez les femmes que chez les hommes interrogés. Selon les futurs diplômés, l'entreprise doit notamment « améliorer son impact sur la société » en prenant en compte davantage « son empreinte écologique » ».
Lire en intégralité l’article cité sur La Tribune.fr
« Les futurs diplômés estiment que « l'entreprise a le pouvoir de transformer l'humain » en offrant un espace de dépassement. L'entreprise, perçue comme « un lieu de rencontres, de réseaux et de socialisation », est le lieu d'une aventure collective. Mais les jeunes diplômés estiment aussi que les entreprises détiennent le pouvoir économique et donc la responsabilité de changer les choses » précise Manuelle Malot.
D’autres éléments évalués par les étudiants interrogés montrent cependant qu’ils n’idéalisent pas totalement le monde professionnel. Contrairement au battage de communication sur l’évolution des pratiques managériales, ils sont ainsi 67% à considérer qu’en entreprise c’est encore la verticalité qui prime. Domaine dans lequel ils aspirent à des évolutions. « Parmi les transformations souhaitées, la principale concerne les relations de travail et le respect des personnes (57 %). Ils souhaitent ainsi le développement d'un management bienveillant et l'optimisation des conditions de travail, car « le bien-être permet de meilleurs résultats qu'une pression continue », souligne l'un des participants à l'enquête. La deuxième transformation souhaitée est relative au respect des principes du développement durable et de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) (46 %). Une tendance d'ailleurs plus marquée chez les femmes que chez les hommes interrogés. Selon les futurs diplômés, l'entreprise doit notamment « améliorer son impact sur la société » en prenant en compte davantage « son empreinte écologique » ».
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