Pas de RSE, pas de financement bancaire. Alors que les entreprises sont prêtes à tout pour obtenir un financement, l’idée est prometteuse. Le rapport de force entre les entreprises et les banques est un élément central pour atteindre des objectifs de croissance. Quand les banques assurent qu’elles prennent en compte l’engagement RSE des sociétés pour accorder ou non des crédits bancaires, les effets peuvent donc être importants. « Aujourd’hui, de plus en plus de partenaires bancaires accompagnent la politique RSE des entreprises. Mieux, ils la favorisent, l’incitent, voire montrent l’exemple : La Banque Postale a ainsi été l’un des premiers organismes bancaires à annoncer, fin 2018, la neutralité carbone sur l’ensemble de son périmètre opérationnel. Dernièrement, un pool bancaire a lié le taux d’intérêt d’un crédit de 1 milliard d’euros, accordé à un géant de l’informatique, à l’amélioration annuelle des objectifs « durables » de l’entreprise » souligne Capital , dans un article sponsorisé par La Banque Postale.
Le levier du financement est d’autant plus intéressant qu’il est également utilisé une fois qu’il a été accordé. « Des objectifs durables, humains, environnementaux… ont ainsi été clairement définis auprès du syndicat de banques qui a financé cette ligne de crédit. Objectifs contrôlés chaque année et qui, s’ils ne sont pas atteints, actionneront des pénalités et des obligations pour le groupe, imposant de rectifier le tir et de compenser soit via des financements d’ONG, soit par un remboursement équivalent à la marge prévue… Un challenge vert écologiquement et socialement motivant, mais aussi financièrement vertueux : toutes les études sur le sujet montrent que la RSE est un bon indicateur de performance : plus une entreprise respecte des critères RSE, plus elle est performante financièrement ! » continue Capital. Une initiative qui permet aux entreprises de saisir immédiatement leur intérêt à être exigeantes dans leur engagement.
Lire en intégralité l’article sur le site du mensuel Capital
Le levier du financement est d’autant plus intéressant qu’il est également utilisé une fois qu’il a été accordé. « Des objectifs durables, humains, environnementaux… ont ainsi été clairement définis auprès du syndicat de banques qui a financé cette ligne de crédit. Objectifs contrôlés chaque année et qui, s’ils ne sont pas atteints, actionneront des pénalités et des obligations pour le groupe, imposant de rectifier le tir et de compenser soit via des financements d’ONG, soit par un remboursement équivalent à la marge prévue… Un challenge vert écologiquement et socialement motivant, mais aussi financièrement vertueux : toutes les études sur le sujet montrent que la RSE est un bon indicateur de performance : plus une entreprise respecte des critères RSE, plus elle est performante financièrement ! » continue Capital. Une initiative qui permet aux entreprises de saisir immédiatement leur intérêt à être exigeantes dans leur engagement.
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