Les grandes entreprises sont obligées d’avoir des engagements extra financiers. Pour répondre aux exigences de la loi, des investisseurs mais aussi des clients ou consommateurs. Du côté des petites et moyennes entreprises, c’est différent. Sans obligation claire et nette, les chefs d’entreprises ne perçoivent souvent dans la responsabilité sociale des entreprises (RSE) qu’un artifice ou une contrainte. Hormis ceux qui sont engagés par principe ou pour des raisons marketing, l’essentiel du tissu économique passe ainsi à côté de cet engagement.
Pourtant s’il existe bien une réalité, c’est que l’opinion publique devient de plus en plus exigeante. Dans un interview au site spécialisé Widoobiz , Jerôme Verdielle, le patron de la société ABCSR spécialisé dans la notation RSE des TPE-PME, donne sa vision de la situation : « Les dirigeants de ces dernières perçoivent souvent les actions RSE comme une contrainte et ceux qui souhaitent la mettre en place sont vite confrontés à un processus chronophage. Cette action est pourtant cruciale pour l’avenir de leur entreprise. Cela me rappelle les débuts d’internet il y a 20 ans. Certains se sont précipités sur la technologie et d’autres ont attendu. On assiste au même phénomène avec la RSE. Mais si une entreprise aujourd’hui, aussi petite soit-elle, ne prend pas ce virage, elle sera exclue de son marché. C’est une question de compétitivité et de transformation ».
Parmi les arguments qui font mouche, le spécialiste explique que pour les entreprises de tailles moyennes, le risque est de voir les gros acteurs de leurs secteurs privilégier des structures engagées. Car pour les entreprises côtés, le choix des fournisseurs doit inclure des critères extra financiers. Que l’on appelle cela RSE ou engagement, les patrons doivent comprendre qu’il ne s’agit pas d’un effet de mode maos d’une évolution des pratiques des consommateurs qui impacte tous les pans de l’économie.
Pourtant s’il existe bien une réalité, c’est que l’opinion publique devient de plus en plus exigeante. Dans un interview au site spécialisé Widoobiz , Jerôme Verdielle, le patron de la société ABCSR spécialisé dans la notation RSE des TPE-PME, donne sa vision de la situation : « Les dirigeants de ces dernières perçoivent souvent les actions RSE comme une contrainte et ceux qui souhaitent la mettre en place sont vite confrontés à un processus chronophage. Cette action est pourtant cruciale pour l’avenir de leur entreprise. Cela me rappelle les débuts d’internet il y a 20 ans. Certains se sont précipités sur la technologie et d’autres ont attendu. On assiste au même phénomène avec la RSE. Mais si une entreprise aujourd’hui, aussi petite soit-elle, ne prend pas ce virage, elle sera exclue de son marché. C’est une question de compétitivité et de transformation ».
Parmi les arguments qui font mouche, le spécialiste explique que pour les entreprises de tailles moyennes, le risque est de voir les gros acteurs de leurs secteurs privilégier des structures engagées. Car pour les entreprises côtés, le choix des fournisseurs doit inclure des critères extra financiers. Que l’on appelle cela RSE ou engagement, les patrons doivent comprendre qu’il ne s’agit pas d’un effet de mode maos d’une évolution des pratiques des consommateurs qui impacte tous les pans de l’économie.