Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne du journal Les Echos explique qu’être « exemplaire en matière de responsabilité sociale et environnementale (RSE) et en tirer un gain financier est possible », ajoutant que « c'est la thèse d' Eurazeo qui brise ainsi une forme de tabou dans l'industrie du capital-investissement où rares sont les investisseurs, comme Carlyle ou KKR, à s'emparer du sujet. »
En effet, « la politique RSE se cantonne souvent à lister les bienfaits sur l'environnement grâce à l'optimisation de la consommation d'énergie ainsi que des missions d'intérêt général, auprès d'ONG par exemple. »
En effet, « la politique RSE se cantonne souvent à lister les bienfaits sur l'environnement grâce à l'optimisation de la consommation d'énergie ainsi que des missions d'intérêt général, auprès d'ONG par exemple. »
La RSE qui rapporte
L'article explique ainsi que « l’essentiel pour les fonds est d'afficher un engagement éthique d'investisseur respectueux de l'écosystème social et environnemental sur le long terme. Le holding coté Eurazeo a décidé de renverser cette approche et de mettre en avant le bénéfice financier de la RSE, avant son intérêt éthique. »
Sophie Flak, la directrice de la responsabilité sociétale d'entreprise d'Eurazeo, assure que « le profit est indispensable au développement de plans viables et de long terme de RSE afin que leurs bonnes pratiques se diffusent dans l'industrie. »
Elle affirme ainsi : « J'ai toujours été opposée aux programmes de responsabilité sociétale destructeurs de valeur financière, dit-elle sans détour. L'objet d'une entreprise est de générer des profits sur la durée. Pour que ces actions sociétales soient pérennes, il est donc nécessaire qu'elles dégagent des gains financiers. »
En conséquence, Eurazeo a mené avec PwC « une étude chiffrée des plans de RSE engagés dans six de ses participations (Accor, Léon de Bruxelles, Foncia, Elis, Peters Surgical et Dessange). Celle-ci met en évidence plus de 180 millions d'euros d'économies dégagées depuis 2011 grâce à l'attention portée sur la consommation de carburant et d'eau dans son portefeuille, mais aussi à la gestion des absences des salariés. »
Lire l’intégralité de l’article des Echos ici.
Sophie Flak, la directrice de la responsabilité sociétale d'entreprise d'Eurazeo, assure que « le profit est indispensable au développement de plans viables et de long terme de RSE afin que leurs bonnes pratiques se diffusent dans l'industrie. »
Elle affirme ainsi : « J'ai toujours été opposée aux programmes de responsabilité sociétale destructeurs de valeur financière, dit-elle sans détour. L'objet d'une entreprise est de générer des profits sur la durée. Pour que ces actions sociétales soient pérennes, il est donc nécessaire qu'elles dégagent des gains financiers. »
En conséquence, Eurazeo a mené avec PwC « une étude chiffrée des plans de RSE engagés dans six de ses participations (Accor, Léon de Bruxelles, Foncia, Elis, Peters Surgical et Dessange). Celle-ci met en évidence plus de 180 millions d'euros d'économies dégagées depuis 2011 grâce à l'attention portée sur la consommation de carburant et d'eau dans son portefeuille, mais aussi à la gestion des absences des salariés. »
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