Un article en ligne du journal Les Echos explique que « 26 sociétés du CAC 40 lient critères RSE et rémunération des dirigeants » et que « pour cette pratique, la France se pose en pays précurseur ».
L’article ajoute qu’ « aujourd’hui, vingt-six entreprises du CAC 40 - Accor, Crédit Agricole, Danone, Lafarge, Total, etc - ont intégré des critères de RSE dans la rémunération variable à court terme de leurs dirigeants. »
Florence Toison, chef de projet et spécialiste de la thématique chez Hay Group, précise : « Par « critères de RSE », on entend l’ensemble des indicateurs environnementaux, de ressources humaines et sociétaux en lien avec la politique de responsabilité sociale de l’entreprise. »
Jérôme Rambaldi, directeur en charge de l’activité Rémunération des dirigeants chez Hay Group, ajoute quant à lui : « En intégrant ces critères dans la rémunération de ses dirigeants, l’entreprise renforce sa politique développement durable, elle prouve qu’il s’agit d’un enjeu stratégique. »
L’article précise qu’« en France, l’article 225 de la loi Grenelle II du 12 juillet 2010 impose de publier des informations sociales, sociétales et environnementales dans le rapport de gestion. »
L’article ajoute qu’ « aujourd’hui, vingt-six entreprises du CAC 40 - Accor, Crédit Agricole, Danone, Lafarge, Total, etc - ont intégré des critères de RSE dans la rémunération variable à court terme de leurs dirigeants. »
Florence Toison, chef de projet et spécialiste de la thématique chez Hay Group, précise : « Par « critères de RSE », on entend l’ensemble des indicateurs environnementaux, de ressources humaines et sociétaux en lien avec la politique de responsabilité sociale de l’entreprise. »
Jérôme Rambaldi, directeur en charge de l’activité Rémunération des dirigeants chez Hay Group, ajoute quant à lui : « En intégrant ces critères dans la rémunération de ses dirigeants, l’entreprise renforce sa politique développement durable, elle prouve qu’il s’agit d’un enjeu stratégique. »
L’article précise qu’« en France, l’article 225 de la loi Grenelle II du 12 juillet 2010 impose de publier des informations sociales, sociétales et environnementales dans le rapport de gestion. »
Les indicateurs RSE, des outils économiques
Florence Toison indique que « la loi prévoit, en outre, de faire vérifier les indicateurs de RSE par un organisme tiers indépendant. » L’article des Echos souligne qu’ « avec ces obligations, le législateur français fait de notre pays un précurseur dans ce domaine. Les entreprises visées par cette obligation sont les structures comptant plus de 500 salariés et réalisant un chiffre d’affaires supérieur à 100 millions d’euros. »
Par conséquent, « sont concernées, la société, mais aussi à l’ensemble de ses filiales consolidées selon la méthode d'intégration globale en France et à l’étranger. La directive européenne d’avril 2014 sur le reporting extra-financier des grandes entreprises prévoit une transposition dans les législations nationales à compter de 2017. »
Florence Toison explique ainsi que « les indicateurs RSE constituent des outils économiques qui renseignent sur la vraie valeur de l’entreprise puisqu’ils détaillent la performance environnementale (économie de matières premières, gestion raisonnée des déchets, réduction des émissions de gaz à effet de serre, etc. NDLR), la performance RH et la performance sociétale (mesure de l’impact de l’activité sur toutes les parties prenantes, consommateurs, fournisseurs, populations riveraines, etc. NDLR). »
Lire l’intégralité de l’article sur le site des Echos ici.
Par conséquent, « sont concernées, la société, mais aussi à l’ensemble de ses filiales consolidées selon la méthode d'intégration globale en France et à l’étranger. La directive européenne d’avril 2014 sur le reporting extra-financier des grandes entreprises prévoit une transposition dans les législations nationales à compter de 2017. »
Florence Toison explique ainsi que « les indicateurs RSE constituent des outils économiques qui renseignent sur la vraie valeur de l’entreprise puisqu’ils détaillent la performance environnementale (économie de matières premières, gestion raisonnée des déchets, réduction des émissions de gaz à effet de serre, etc. NDLR), la performance RH et la performance sociétale (mesure de l’impact de l’activité sur toutes les parties prenantes, consommateurs, fournisseurs, populations riveraines, etc. NDLR). »
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