Dire « bonjour » en arrivant, être poli et aimable, ne pas dégrader les espaces communs... Qu’il s’agisse des clients, des visiteurs, ou même des collègues, les règles de base semblent parfois avoir été oubliées dans le monde du travail. Le sondage publié le 11 juin 2014 relève en effet que plus de deux salariés sur cinq (42%) se disent exposés aux incivilités dans leur cadre professionnel. Menée par l'institut Ginger pour le cabinet de prévention Eleas, cette enquête souligne que 11% des salariés, du public et du privé, se déclarent très exposés aux incivilités et 31% assez exposés. 45% des personnes interrogées se disent peu exposées et seulement 13% pas du tout exposées.
En outre, près de la moitié des salariés (46%) estiment que les incivilités ont augmenté ces dernières années. Les fonctionnaires confirment cette évolution pour 54% d’entre eux. Si un salarié sur trois souffre de ces incivilités, le chiffre s’élève là aussi à deux sur cinq chez les fonctionnaires. Parmi les symptômes ressentis, les salariés évoquent le stress et l'anxiété, les troubles du sommeil, ou une mauvaise image d'eux-mêmes. Ils citent également différents symptômes affectant leur productivité : démotivation, problèmes de concentration ou arrêts maladie.
D'après les salariés, les incivilités au travail résident d'abord dans le non respect des codes de politesse, de courtoisie et des règles (66%), puis la violence verbale et les comportements agressifs (21%). 10% citent également la dégradation matérielle, 7% mentionnent les propos discriminatoires et 1% les comportements inappropriés. Pour plus de la moitié des personnes interrogées (54%), les incivilités sont provoquées le plus souvent par les personnes extérieures (clients, visiteurs, patients, usagers, parents d'élèves...), par les collègues de travail (48%), les managers et la direction (18%) ou les représentants du personnel (6%).
En outre, près de la moitié des salariés (46%) estiment que les incivilités ont augmenté ces dernières années. Les fonctionnaires confirment cette évolution pour 54% d’entre eux. Si un salarié sur trois souffre de ces incivilités, le chiffre s’élève là aussi à deux sur cinq chez les fonctionnaires. Parmi les symptômes ressentis, les salariés évoquent le stress et l'anxiété, les troubles du sommeil, ou une mauvaise image d'eux-mêmes. Ils citent également différents symptômes affectant leur productivité : démotivation, problèmes de concentration ou arrêts maladie.
D'après les salariés, les incivilités au travail résident d'abord dans le non respect des codes de politesse, de courtoisie et des règles (66%), puis la violence verbale et les comportements agressifs (21%). 10% citent également la dégradation matérielle, 7% mentionnent les propos discriminatoires et 1% les comportements inappropriés. Pour plus de la moitié des personnes interrogées (54%), les incivilités sont provoquées le plus souvent par les personnes extérieures (clients, visiteurs, patients, usagers, parents d'élèves...), par les collègues de travail (48%), les managers et la direction (18%) ou les représentants du personnel (6%).