Les chiffres frappent mieux les esprits que les longs discours. Pour ce qui est de l’impact environnemental il est donc important de savoir que le numérique et le digital représentent environ 7% de le consommation mondiale d’électricité. Il faut aussi savoir qu’un serveur qui ne sert pas mais attend les connexions, consomment jusqu’à cent watts.
« Avec Internet, la circulation des données est devenue instantanée, virtuelle et invisible. Mais les traces numériques laissent des empreintes bien réelles sur l’environnement. Faire tout ce chemin à travers le globe en un temps record requiert beaucoup d’énergie. Déjà pour alimenter les ordinateurs, smartphones et tablettes à l’origine de la demande. Puis pour alimenter le réseau qui transfère la requête » résume La Croix dans un articlé dédié à l’impact du numérique sur l’environnement.
On apprend ainsi que moins il y a de fil – et donc moins le numérique prend de la place – plus les appareils consomment. Téléphones portables, tablettes, ordinateurs et les routeurs dévorent des quantités astronomiques de watts et en permanence. De même, les centres de stockage de données et serveurs sont des grands consommateurs et représentent un défi environnemental de taille. « Un peu comme si la lampe du garage restait toujours allumée. Impossible pour autant d’éteindre ces machines quand on ne s’en sert pas : rallumer le serveur pour accéder aux données stockées dedans demanderait plusieurs minutes, trop long pour les internautes pressés » commente le quotidien. Et si des solutions d’optimisation se développent avec des installations dans des zones froides ou l’utilisation des serveurs comme source de chaleur, il y a encore beaucoup à faire alors que les besoins du public continuent à augmenter.
Enfin, ajoute le journal, la fabrication même des appareils a un coût environnemental très important : « Fabriquer un ordinateur nécessite 240 kg de combustibles fossiles, 2,2 kg de produits chimiques et plus de 1 tonne d’eau, selon l’Ademe. Sans oublier les terres et métaux rares, comme le néodyme pour les électroaimants ou l’indium pour les écrans tactiles. » Des estimations qui incluent les méthodes d’extraction mais ne parviennent pas à évaluer les dégâts sur l’environnement avec la pollution des terres et des réserves en eau.
« Avec Internet, la circulation des données est devenue instantanée, virtuelle et invisible. Mais les traces numériques laissent des empreintes bien réelles sur l’environnement. Faire tout ce chemin à travers le globe en un temps record requiert beaucoup d’énergie. Déjà pour alimenter les ordinateurs, smartphones et tablettes à l’origine de la demande. Puis pour alimenter le réseau qui transfère la requête » résume La Croix dans un articlé dédié à l’impact du numérique sur l’environnement.
On apprend ainsi que moins il y a de fil – et donc moins le numérique prend de la place – plus les appareils consomment. Téléphones portables, tablettes, ordinateurs et les routeurs dévorent des quantités astronomiques de watts et en permanence. De même, les centres de stockage de données et serveurs sont des grands consommateurs et représentent un défi environnemental de taille. « Un peu comme si la lampe du garage restait toujours allumée. Impossible pour autant d’éteindre ces machines quand on ne s’en sert pas : rallumer le serveur pour accéder aux données stockées dedans demanderait plusieurs minutes, trop long pour les internautes pressés » commente le quotidien. Et si des solutions d’optimisation se développent avec des installations dans des zones froides ou l’utilisation des serveurs comme source de chaleur, il y a encore beaucoup à faire alors que les besoins du public continuent à augmenter.
Enfin, ajoute le journal, la fabrication même des appareils a un coût environnemental très important : « Fabriquer un ordinateur nécessite 240 kg de combustibles fossiles, 2,2 kg de produits chimiques et plus de 1 tonne d’eau, selon l’Ademe. Sans oublier les terres et métaux rares, comme le néodyme pour les électroaimants ou l’indium pour les écrans tactiles. » Des estimations qui incluent les méthodes d’extraction mais ne parviennent pas à évaluer les dégâts sur l’environnement avec la pollution des terres et des réserves en eau.