Selon Greenpeace, dès aujourd’hui et jusqu’au 31 décembre, l’État français est donc à découvert climatique et aggrave son impact sur le dérèglement de la planète : "Le fait que cette date arrive si tôt dans l’année est une nouvelle démonstration que l’État est encore loin de respecter ses propres lois", explique dans un communiqué l'ONG, qui ajoute que "le recours en justice de l’Affaire du Siècle, déposé le 14 mars dernier, et soutenu par plus de 2 millions de Français, vise à mettre fin à cette fuite en avant".
"Atteindre la neutralité carbone est l’objectif que la France s’est fixée pour 2050 dans la loi énergie-climat de 2019, conformément à l’Accord de Paris", assure Greenpeace, qui indique que "la feuille de route climatique à long terme de la France, appelée 'Stratégie nationale bas carbone', précise qu’en 2050, les émissions de gaz à effet de serre ne pourront pas dépasser 79 MtCO2e par an".
C’est à ce niveau que se situeront, selon l’État, les capacités maximales d’absorption du CO2 par notre biosphère (forêts, prairies, océans). Or, "en 2020 nous émettons Si l’on continue à ce rythme, la France n’atteindra pas la neutralité carbone en 2050 mais… en 2085", précise l'ONG.
"Atteindre la neutralité carbone est l’objectif que la France s’est fixée pour 2050 dans la loi énergie-climat de 2019, conformément à l’Accord de Paris", assure Greenpeace, qui indique que "la feuille de route climatique à long terme de la France, appelée 'Stratégie nationale bas carbone', précise qu’en 2050, les émissions de gaz à effet de serre ne pourront pas dépasser 79 MtCO2e par an".
C’est à ce niveau que se situeront, selon l’État, les capacités maximales d’absorption du CO2 par notre biosphère (forêts, prairies, océans). Or, "en 2020 nous émettons Si l’on continue à ce rythme, la France n’atteindra pas la neutralité carbone en 2050 mais… en 2085", précise l'ONG.