La période de confinement qui vient de s’achever a d’abord permis à beaucoup d’entre nous de renouer avec une réalité que nos modes de vie tumultueux nous avaient presque fait oublier : le logement n’a pas qu’une dimension fonctionnelle, il est aussi un espace de vie au sein duquel on se construit, se libère, se ressource et souvent au sein duquel on éduque, protège et fait grandir.
Pendant le confinement, le cœur de chaque logement battait son plein. Et cette nouvelle relation au logement s’étendra peut-être, tant s’exprime aujourd’hui la quête de « mieux-vivre » notamment avec l’aspiration des salariés à davantage de télétravail.
Ces tendances de fond ne sont pas nouvelles, le confinement en a seulement été le catalyseur. Quoiqu’il en soit, elles doivent nous interroger sur l’évolution des modes de vie à l’heure où nous entrons dans un nouveau paradigme dont le digital, l’écologie et l’équilibre personnel sont les fondations. Et dans ce paradigme, les professionnels du logement (comme ceux de l’urbanisme au sens large) auront un rôle croissant à exercer.
Leur responsabilité est certes environnementale, et la dynamique initiée depuis plusieurs années en faveur de la construction durable et de la rénovation thermique en atteste. Mais elle est aussi sociétale, dans la mesure où ce nouveau rapport à l’habitat marque l’affirmation d’exigences de confort revues à la hausse.
Elle est enfin économique, car le secteur du bâtiment en France – tous corps de métiers confondus – emploie 1,5 million d’actifs et contribue au PIB à hauteur de 10% environ. L’ampleur du choc conjoncturel que nous venons de vivre a fait prendre conscience de l’important maillage économique qu’il représente dans l’ensemble de nos territoires.
Pour toutes ces raisons, le logement mérite une stratégie de RSE à la hauteur des nouveaux enjeux énumérés ci-dessus. Et c’est à nous, professionnels du secteur, qu’il appartient de développer une vision renouvelée de nos métiers, conjuguant l’infrastructure, l’humain, et la prise en compte des impératifs écologiques. Rappelons, à toute fin utile, que le bâtiment est le plus gros consommateur d’énergie en France et détient, à ce titre, un potentiel considérable de contribution à la lutte contre le réchauffement climatique.
Chaque jour, les équipes de TwentyTwo Real Estate et sa filiale Scaprim s’emploient à relever ces défis, notamment vis-à-vis de ses clients à travers sa foncière résidentielle à loyers abordables, PowerHouse Habitat. Une démarche qui ne s’est pas démentie - même en pleine période d’incertitude liée à la crise sanitaire du Covid-19.
Le développement de PowerHouse Habitat se traduit par l’acquisition régulière d’actifs résidentiels anciens et neufs dans des zones tendues, en partenariat avec toutes les parties prenantes des territoires qui nous accompagnent afin de maintenir, ensemble, un niveau de service élevé et des prestations abordables pour les locataires sur le long terme. Cette ambition s’articule principalement autour de trois axes de travail : un axe environnemental, un axe sociétal et un axe « services ».
PowerHouse Habitat a engagé depuis longtemps des investissements significatifs tournés vers l’efficacité énergétique des bâtiments pris en charge et rénovés par ses soins. L’objectif est simple : permettre de réduire les factures énergétiques de ses occupants ainsi que l’empreinte carbone de son parc de 6600 logements dans toute la France.
La sobriété économique et énergétique est également au cœur des préoccupations de PowerHouse Habitat dans le cadre du développement de logements neufs. Afin de produire des logements abordables, PowerHouse Habitat veut relever un double défi : celui de réduire le coût de construction initial et de concevoir des logements dont l’efficacité et la durabilité seront les garants de prestations qui resteront abordables sur le long terme. Ceci passe par la recherche de simplification des normes, de procédés constructifs économiques, la durabilité des matériaux et des cadres de vie, l’efficacité énergétique et opérationnelle des bâtiments.
De ces considérations économiques et environnementales découle tout naturellement un bénéfice sociétal qui rejaillit sur l’ensemble de notre écosystème, à commencer par les locataires – parmi lesquels des associations venant en aide aux personnes en difficulté – et par les entreprises locales du bâtiment, créatrices d’emploi et vecteurs de développement territorial.
PowerHouse Habitat est en effet ancrée dans toutes les régions de France et a largement misé, depuis le début de son aventure, sur le travail des TPE et des PME locales pour la rénovation de ses actifs immobiliers. PowerHouse Habitat fait donc systématiquement appel à quelques mille fournisseurs TPE/PME agréés, soutenant ainsi l’emploi en région de manière très concrète.
Enfin, PowerHouse Habitat met en pratique une RSE à l’aune de son époque : la révolution numérique que nous vivons ouvre le champ des possibles, et de nouveaux services permettent aujourd’hui de simplifier le parcours de nos locataires, avant et pendant la signature de leur bail, ainsi qu’en matière d’accession à la propriété. Cette digitalisation des pratiques – grâce à notre plateforme Allowa – permet également aux équipes commerciales dans nos bureaux comme sur le terrain, d’être réactives dans leur gestion quotidienne des dossiers clients.
Voilà plus de vingt ans que nos équipes et moi-même évoluons dans le domaine de l’immobilier. De cette expérience sont nés des choix, des arbitrages et une stratégie de responsabilité qui fut mise à l’épreuve durant la crise sanitaire. Le confinement a mis en lumière l’importance du confort des occupants, et la nécessité absolue de garantir la continuité de service, pour assurer tant la maintenance de l’habitat que la survie des tissus économiques locaux. Le confinement a aussi montré que l’Homme avait le pouvoir d’agir positivement sur son environnement en vivant et en travaillant autrement.
Les professionnels du logement sont donc au cœur des enjeux de développement durable pour les nouveaux modes de vie à construire. Charge à eux d’offrir à leurs concitoyens les moyens d’en devenir des acteurs épanouis.
Pendant le confinement, le cœur de chaque logement battait son plein. Et cette nouvelle relation au logement s’étendra peut-être, tant s’exprime aujourd’hui la quête de « mieux-vivre » notamment avec l’aspiration des salariés à davantage de télétravail.
Ces tendances de fond ne sont pas nouvelles, le confinement en a seulement été le catalyseur. Quoiqu’il en soit, elles doivent nous interroger sur l’évolution des modes de vie à l’heure où nous entrons dans un nouveau paradigme dont le digital, l’écologie et l’équilibre personnel sont les fondations. Et dans ce paradigme, les professionnels du logement (comme ceux de l’urbanisme au sens large) auront un rôle croissant à exercer.
Leur responsabilité est certes environnementale, et la dynamique initiée depuis plusieurs années en faveur de la construction durable et de la rénovation thermique en atteste. Mais elle est aussi sociétale, dans la mesure où ce nouveau rapport à l’habitat marque l’affirmation d’exigences de confort revues à la hausse.
Elle est enfin économique, car le secteur du bâtiment en France – tous corps de métiers confondus – emploie 1,5 million d’actifs et contribue au PIB à hauteur de 10% environ. L’ampleur du choc conjoncturel que nous venons de vivre a fait prendre conscience de l’important maillage économique qu’il représente dans l’ensemble de nos territoires.
Pour toutes ces raisons, le logement mérite une stratégie de RSE à la hauteur des nouveaux enjeux énumérés ci-dessus. Et c’est à nous, professionnels du secteur, qu’il appartient de développer une vision renouvelée de nos métiers, conjuguant l’infrastructure, l’humain, et la prise en compte des impératifs écologiques. Rappelons, à toute fin utile, que le bâtiment est le plus gros consommateur d’énergie en France et détient, à ce titre, un potentiel considérable de contribution à la lutte contre le réchauffement climatique.
Chaque jour, les équipes de TwentyTwo Real Estate et sa filiale Scaprim s’emploient à relever ces défis, notamment vis-à-vis de ses clients à travers sa foncière résidentielle à loyers abordables, PowerHouse Habitat. Une démarche qui ne s’est pas démentie - même en pleine période d’incertitude liée à la crise sanitaire du Covid-19.
Le développement de PowerHouse Habitat se traduit par l’acquisition régulière d’actifs résidentiels anciens et neufs dans des zones tendues, en partenariat avec toutes les parties prenantes des territoires qui nous accompagnent afin de maintenir, ensemble, un niveau de service élevé et des prestations abordables pour les locataires sur le long terme. Cette ambition s’articule principalement autour de trois axes de travail : un axe environnemental, un axe sociétal et un axe « services ».
PowerHouse Habitat a engagé depuis longtemps des investissements significatifs tournés vers l’efficacité énergétique des bâtiments pris en charge et rénovés par ses soins. L’objectif est simple : permettre de réduire les factures énergétiques de ses occupants ainsi que l’empreinte carbone de son parc de 6600 logements dans toute la France.
La sobriété économique et énergétique est également au cœur des préoccupations de PowerHouse Habitat dans le cadre du développement de logements neufs. Afin de produire des logements abordables, PowerHouse Habitat veut relever un double défi : celui de réduire le coût de construction initial et de concevoir des logements dont l’efficacité et la durabilité seront les garants de prestations qui resteront abordables sur le long terme. Ceci passe par la recherche de simplification des normes, de procédés constructifs économiques, la durabilité des matériaux et des cadres de vie, l’efficacité énergétique et opérationnelle des bâtiments.
De ces considérations économiques et environnementales découle tout naturellement un bénéfice sociétal qui rejaillit sur l’ensemble de notre écosystème, à commencer par les locataires – parmi lesquels des associations venant en aide aux personnes en difficulté – et par les entreprises locales du bâtiment, créatrices d’emploi et vecteurs de développement territorial.
PowerHouse Habitat est en effet ancrée dans toutes les régions de France et a largement misé, depuis le début de son aventure, sur le travail des TPE et des PME locales pour la rénovation de ses actifs immobiliers. PowerHouse Habitat fait donc systématiquement appel à quelques mille fournisseurs TPE/PME agréés, soutenant ainsi l’emploi en région de manière très concrète.
Enfin, PowerHouse Habitat met en pratique une RSE à l’aune de son époque : la révolution numérique que nous vivons ouvre le champ des possibles, et de nouveaux services permettent aujourd’hui de simplifier le parcours de nos locataires, avant et pendant la signature de leur bail, ainsi qu’en matière d’accession à la propriété. Cette digitalisation des pratiques – grâce à notre plateforme Allowa – permet également aux équipes commerciales dans nos bureaux comme sur le terrain, d’être réactives dans leur gestion quotidienne des dossiers clients.
Voilà plus de vingt ans que nos équipes et moi-même évoluons dans le domaine de l’immobilier. De cette expérience sont nés des choix, des arbitrages et une stratégie de responsabilité qui fut mise à l’épreuve durant la crise sanitaire. Le confinement a mis en lumière l’importance du confort des occupants, et la nécessité absolue de garantir la continuité de service, pour assurer tant la maintenance de l’habitat que la survie des tissus économiques locaux. Le confinement a aussi montré que l’Homme avait le pouvoir d’agir positivement sur son environnement en vivant et en travaillant autrement.
Les professionnels du logement sont donc au cœur des enjeux de développement durable pour les nouveaux modes de vie à construire. Charge à eux d’offrir à leurs concitoyens les moyens d’en devenir des acteurs épanouis.