Source : Pixabay, image libre de droits.
Malgré le climat doux de l’automne, la qualité de l’air n’est pas pour autant au rendez-vous de ce mois de novembre. En effet, un important épisode de pollution va frapper l’Europe du Sud dans quelques jours.
Un article en ligne du site internet lachainemeteo.com explique les enjeux d’un tel pic de pollution dans la région.
Un article en ligne du site internet lachainemeteo.com explique les enjeux d’un tel pic de pollution dans la région.
« Une qualité de l’air de plus en plus mauvaise »
L’article explique d’abord que « le premier épisode de pollution automnale a touché le nord du pays la semaine dernière. » Il ajoute que « cette semaine, c’est au tour du sud d’être concerné par une qualité de l’air de plus en plus mauvaise au fil des jours. »
Les régions affectées sont nombreuses, car comme le souligne l’article, « d’un point de vue global c’est toute l’Europe du sud qui est touchée. » Plus particulièrement, « en France, le sud et l’est du pays sont davantage concernés par cet épisode de pollution. »
Ainsi, « l’ensemble des régions allant des Pyrénées, à la Méditerranée et à l’Alsace connaissent des pics de pollution principalement dus aux particules fines. Les concentrations les plus importantes se retrouvent dans les villes situées en fond de vallée comme Lyon, Grenoble, Dijon et Toulouse mais aussi le long de la vallée de la Garonne, de l’Adour et du delta du Rhône jusqu’au littoral niçois. »
Le responsable de ce pic de pollution est « l’anticyclone, qui nous protège régulièrement des perturbations, qui entraine cette stagnation des polluants dans les basses couches », selon l’explication de l’article. Ainsi, « la semaine dernière un flux de sud-ouest a permis à la masse d’air d’être renouvelée mais actuellement les hautes pressions s’installent sur la Méditerranée. »
C’est pourquoi, « dans cette configuration, les perturbations sont rejetées sur l’Europe du nord et avec elles l’air océanique plus pur. Sur l’Europe du sud, comme les vents sont faibles, les polluants s’accumulent de jours en jours sur les mêmes zones. »
Les régions affectées sont nombreuses, car comme le souligne l’article, « d’un point de vue global c’est toute l’Europe du sud qui est touchée. » Plus particulièrement, « en France, le sud et l’est du pays sont davantage concernés par cet épisode de pollution. »
Ainsi, « l’ensemble des régions allant des Pyrénées, à la Méditerranée et à l’Alsace connaissent des pics de pollution principalement dus aux particules fines. Les concentrations les plus importantes se retrouvent dans les villes situées en fond de vallée comme Lyon, Grenoble, Dijon et Toulouse mais aussi le long de la vallée de la Garonne, de l’Adour et du delta du Rhône jusqu’au littoral niçois. »
Le responsable de ce pic de pollution est « l’anticyclone, qui nous protège régulièrement des perturbations, qui entraine cette stagnation des polluants dans les basses couches », selon l’explication de l’article. Ainsi, « la semaine dernière un flux de sud-ouest a permis à la masse d’air d’être renouvelée mais actuellement les hautes pressions s’installent sur la Méditerranée. »
C’est pourquoi, « dans cette configuration, les perturbations sont rejetées sur l’Europe du nord et avec elles l’air océanique plus pur. Sur l’Europe du sud, comme les vents sont faibles, les polluants s’accumulent de jours en jours sur les mêmes zones. »