Source : Pixabay, image libre de droits
A travers un communiqué, l'ONG Greenpeace France salue "cette avancée majeure dans la lutte contre la pollution de l’air. Mais cette décision doit absolument s’accompagner d’un développement des alternatives à la voiture et d’aides à la transition pour les ménages les plus modestes et les professionnels qui en ont besoin. Les deux organisations regrettent en parallèle l’entêtement destructeur sur le projet de Grand Contournement Ouest, complètement incohérent avec la lutte contre la pollution de l’air et contre le changement climatique."
Paris et Strasbourg sont les deux seules agglomérations en France dans lesquelles "une sortie complète du diesel est prévue, pour les voitures, les camions et les véhicules utilitaires. Cette sortie du diesel s’accompagne d’une sortie partielle de l’essence à Strasbourg et complète" à Paris d’ici 2030.
Plus d’une dizaine de métropoles françaises dépassaient en 2018 les normes européennes de qualité de l’air : "La majorité sont très en retard dans la mise en place de mesures efficaces de lutte contre la pollution de l’air. Grenoble vise la sortie du diesel dans le transport de marchandises d’ici 2025 et a annoncé travailler sur un calendrier pour les voitures", explique dans son communiqué Greenpeace France.
A Lyon, une zone à faibles émissions a été mise en place début 2019 pour les camions les plus polluants selon l'ONG, qui souligne que "son extension aux voitures ou une sortie complète du diesel ne sont toujours pas clairement mises sur la table par les responsables de la métropole." Greenpeace déplore que la concertation en cours sur le plan climat air énergie métropolitain, "qui inclut une réflexion sur l’évolution de la zone à faibles émissions actuelle, passe complètement à côté des revendications des associations."
« Alors que la mobilisation des habitants et habitantes de Lyon contre la pollution de l’air est forte, les responsables de la métropole et de la mairie de Lyon ne doivent plus se dérober devant les mesures incontournables : la sortie complète du diesel pour tous les véhicules, l’abandon du projet routier d’Anneau des Sciences et le développement des transports en commun et du vélo », explique Sarah Fayolle, chargée de campagne Transports à Greenpeace France.
Paris et Strasbourg sont les deux seules agglomérations en France dans lesquelles "une sortie complète du diesel est prévue, pour les voitures, les camions et les véhicules utilitaires. Cette sortie du diesel s’accompagne d’une sortie partielle de l’essence à Strasbourg et complète" à Paris d’ici 2030.
Plus d’une dizaine de métropoles françaises dépassaient en 2018 les normes européennes de qualité de l’air : "La majorité sont très en retard dans la mise en place de mesures efficaces de lutte contre la pollution de l’air. Grenoble vise la sortie du diesel dans le transport de marchandises d’ici 2025 et a annoncé travailler sur un calendrier pour les voitures", explique dans son communiqué Greenpeace France.
A Lyon, une zone à faibles émissions a été mise en place début 2019 pour les camions les plus polluants selon l'ONG, qui souligne que "son extension aux voitures ou une sortie complète du diesel ne sont toujours pas clairement mises sur la table par les responsables de la métropole." Greenpeace déplore que la concertation en cours sur le plan climat air énergie métropolitain, "qui inclut une réflexion sur l’évolution de la zone à faibles émissions actuelle, passe complètement à côté des revendications des associations."
« Alors que la mobilisation des habitants et habitantes de Lyon contre la pollution de l’air est forte, les responsables de la métropole et de la mairie de Lyon ne doivent plus se dérober devant les mesures incontournables : la sortie complète du diesel pour tous les véhicules, l’abandon du projet routier d’Anneau des Sciences et le développement des transports en commun et du vélo », explique Sarah Fayolle, chargée de campagne Transports à Greenpeace France.