Prendre au sérieux la pollution atmosphérique se vérifie dans des décisions concrètes. Partant de ce principe, le classement des douze plus grandes agglomérations françaises a été publié le 11 décembre. Greenpeace, Réseau Action climat (RAC) et l’Unicef ont choisi de rendre public leur travail à cent jours des élections municipales. « L’enjeu est de taille : la France est sous le coup de sanctions de la part de l’Union européenne pour ses dépassements répétés des seuils d’exposition définis par Bruxelles sur deux polluants : le dioxyde d’azote (NO2) et les particules fines (PM10), considérés à l’origine de 48.000 morts prématurés chaque année en France. Ces dépassements réguliers sont notamment observés à Paris, Toulouse, Montpellier, Strasbourg, Marseille, Nice, Lyon ou encore Grenoble, villes prises en compte dans ce classement » contextualise 20 Minutes qui publie un long et complet compte-rendu du rapport.
En réalité, le travail des ONG s’est focalisé sur les ambitions des politiques de transport. Un choix logique étant donné l’impact de la circulation sur les émissions, même si ce n’est pas le seul critère, notamment pour les agglomérations à forte activité industrielle. « Dix-sept critères ont été pris en compte, classés en cinq thématiques : la sortie des véhicules polluants, la réduction de la place de la voiture, les aides financières à la transition pour les professionnels et/ou les particuliers, la dynamique « vélo », celle en matière de transports en commun et enfin les actions spécifiques visant à protéger les enfants de la pollution de l’air » appuie le gratuit.
En plaçant en tête du classement Paris, Grenoble et Strasbourg, les auteurs de l’étude ne veulent pas dire que ces villes sont exemplaires mais plutôt dans une bonne dynamique. Arrivent ensuite Lyon, Nantes, Bordeaux, Lille, Rennes et Toulouse. Les villes les moins engagées sont le trio du quart Sud-Ouest : Montpellier, Nice puis Marseille.
Lire en intégralité l’article sur le site du quotidien 20 Minutes
En réalité, le travail des ONG s’est focalisé sur les ambitions des politiques de transport. Un choix logique étant donné l’impact de la circulation sur les émissions, même si ce n’est pas le seul critère, notamment pour les agglomérations à forte activité industrielle. « Dix-sept critères ont été pris en compte, classés en cinq thématiques : la sortie des véhicules polluants, la réduction de la place de la voiture, les aides financières à la transition pour les professionnels et/ou les particuliers, la dynamique « vélo », celle en matière de transports en commun et enfin les actions spécifiques visant à protéger les enfants de la pollution de l’air » appuie le gratuit.
En plaçant en tête du classement Paris, Grenoble et Strasbourg, les auteurs de l’étude ne veulent pas dire que ces villes sont exemplaires mais plutôt dans une bonne dynamique. Arrivent ensuite Lyon, Nantes, Bordeaux, Lille, Rennes et Toulouse. Les villes les moins engagées sont le trio du quart Sud-Ouest : Montpellier, Nice puis Marseille.
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