Un article en ligne du site de France Tv Info explique que « l'établissement a été construit tout près d'usines chimiques. Des traces de produits toxiques ont été retrouvés dans le sol et l'air. »
L’article parle d’« irritations, maux de tête, saignements de nez et pour les cas les plus graves, lymphomes et leucémies » et ajoute que « selon plusieurs médias, environ 500 élèves d'un lycée de la ville de Changzhou (Chine) sont tombés malades depuis la fin d'année 2015, après que le campus a été relocalisé près d'usines chimiques », ajoutant que « la diffusion d'un reportage de la télévision officielle CCTV a remis de l'huile sur le feu, dimanche 17 avril, faisant scandale. »
Le reportage, « vu par des milliers de Chinois, donne la parole à des élèves et leurs parents. Ces derniers racontent l'odeur pestilentielle qui plane dans le quartier. »
Une adolescente qui a pu voir ce reportage explique : « J'ai des crampes aux jambes et des boutons. Mes mains ont commencé à peler », raconte-t-elle selon des informations délivrées par le Guardian. Quant à la chaîne CCTV, elle « affirme que 641 élèves ont été reçus par des médecins et que 493 d'entre eux souffrent d'une maladie. »
L’article parle d’« irritations, maux de tête, saignements de nez et pour les cas les plus graves, lymphomes et leucémies » et ajoute que « selon plusieurs médias, environ 500 élèves d'un lycée de la ville de Changzhou (Chine) sont tombés malades depuis la fin d'année 2015, après que le campus a été relocalisé près d'usines chimiques », ajoutant que « la diffusion d'un reportage de la télévision officielle CCTV a remis de l'huile sur le feu, dimanche 17 avril, faisant scandale. »
Le reportage, « vu par des milliers de Chinois, donne la parole à des élèves et leurs parents. Ces derniers racontent l'odeur pestilentielle qui plane dans le quartier. »
Une adolescente qui a pu voir ce reportage explique : « J'ai des crampes aux jambes et des boutons. Mes mains ont commencé à peler », raconte-t-elle selon des informations délivrées par le Guardian. Quant à la chaîne CCTV, elle « affirme que 641 élèves ont été reçus par des médecins et que 493 d'entre eux souffrent d'une maladie. »
Un terrain préalablement occupé par une usine de pesticides
Le campus « est situé tout près de trois usines chimiques. Surtout, le terrain avait été préalablement occupé par une usine de pesticides. »
L’article précise que, d’après les informations du Financial Times qui cite lui-même la presse chinoise, « des employés y auraient enfoui des résidus de produits toxiques. » Et d'après le Guardian, « les cours ont débuté avant la publication du rapport environnemental faisant état de la contamination du sol. »
Selon les médias locaux, « des tests menés dans le sol et dans l'air ont révélé des niveaux élevés de produits chimiques, dont du chlorobenzène, un solvant pouvant provoquer de graves dégâts au foie, aux reins et au système nerveux. »
Lire l’intégralité de l’article de France Info ici.
L’article précise que, d’après les informations du Financial Times qui cite lui-même la presse chinoise, « des employés y auraient enfoui des résidus de produits toxiques. » Et d'après le Guardian, « les cours ont débuté avant la publication du rapport environnemental faisant état de la contamination du sol. »
Selon les médias locaux, « des tests menés dans le sol et dans l'air ont révélé des niveaux élevés de produits chimiques, dont du chlorobenzène, un solvant pouvant provoquer de graves dégâts au foie, aux reins et au système nerveux. »
Lire l’intégralité de l’article de France Info ici.