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Un article en ligne du journal Le Parisien explique que « la commission technique chargée de ces évaluations a été mise en place par la ministre Ségolène Royal dans la foulée du scandale Volkswagen fin 2015. »
Et d’après les informations du journal, « la première série de contrôles révélée le 14 janvier avait montré que, en dehors des deux modèles Volkswagen déjà incriminés, des investigations complémentaires étaient nécessaires pour des modèles de Ford, Opel, Mercedes Benz, Renault/Dacia, Nissan, PSA, Fiat/Chrysler et Kia, soit pour les écarts en NOx soit pour des écarts en CO2. »
Et d’après les informations du journal, « la première série de contrôles révélée le 14 janvier avait montré que, en dehors des deux modèles Volkswagen déjà incriminés, des investigations complémentaires étaient nécessaires pour des modèles de Ford, Opel, Mercedes Benz, Renault/Dacia, Nissan, PSA, Fiat/Chrysler et Kia, soit pour les écarts en NOx soit pour des écarts en CO2. »
« Des difficultés avec certains constructeurs »
L’article du Parisien précise que « cette deuxième vague de tests n'a pas permis de déceler de logiciel frauduleusement modifié mais ils confirment une ‘recherche d'optimisation des tests’ ».
Une représentante du ministère a déclaré : «Nous n'avons pas appris grand chose de plus que lors des premiers tests et les résultats confirment qu'il y a des difficultés avec certains constructeurs, notamment Renault et Opel. »
L’article ajoute qu’ « au total 52 véhicules ont été testés par les équipes de l'Utac-Ceram, dont 12 véhicules Renault, 9 Peugeot, 6 Citroën, 5 Volkswagen, 4 Ford et 3 Opel. Le protocole prévoit 3 types d'essais aussi bien en laboratoire que sur route. » Il poursuit, en expliquant que « les dépassements d'oxydes d'azote constatés, allant parfois de 5 à 10 fois la norme, sont liés en grande partie au choix de la technologie de dépollution fait par le constructeur », d’après les informations du rapport, constatant ainsi que « ceux qui utilisent le système de dépollution avec le piège à NOx sont moins performants. »
Pour finir, en ce qui concerne le CO2, l’article souligne que « des écarts ont été constatés sur tous les véhicules testés, avec des dépassements allant de 12% à plus de 40%. Dans tous les cas, les constructeurs concernés ont été ‘invités à fournir des explications sur les causes de ces dépassements’. »
Lire l’intégralité de l’article du Parisien ici.
Une représentante du ministère a déclaré : «Nous n'avons pas appris grand chose de plus que lors des premiers tests et les résultats confirment qu'il y a des difficultés avec certains constructeurs, notamment Renault et Opel. »
L’article ajoute qu’ « au total 52 véhicules ont été testés par les équipes de l'Utac-Ceram, dont 12 véhicules Renault, 9 Peugeot, 6 Citroën, 5 Volkswagen, 4 Ford et 3 Opel. Le protocole prévoit 3 types d'essais aussi bien en laboratoire que sur route. » Il poursuit, en expliquant que « les dépassements d'oxydes d'azote constatés, allant parfois de 5 à 10 fois la norme, sont liés en grande partie au choix de la technologie de dépollution fait par le constructeur », d’après les informations du rapport, constatant ainsi que « ceux qui utilisent le système de dépollution avec le piège à NOx sont moins performants. »
Pour finir, en ce qui concerne le CO2, l’article souligne que « des écarts ont été constatés sur tous les véhicules testés, avec des dépassements allant de 12% à plus de 40%. Dans tous les cas, les constructeurs concernés ont été ‘invités à fournir des explications sur les causes de ces dépassements’. »
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