Nucléaire, OGM, Notre-Dame-des-Landes, gaz de schiste, transition écologique, les dossiers sont épais sur le bureau du ministère de la Transition écologique et solidaire. Intransigeant et offensif lorsqu’il était un chef de file militant, Nicolas Hulot va devoir faire preuve de beaucoup de finesse pour avancer sur ces sujets épineux.
Dans le domaine de la défense de l’environnement et la transition écologique, les dossiers sont tous chargés de symboles à force d’être des lignes de front entre les gouvernements successifs et les militants. Dans une longue interview au Journal du Dimanche, Nicolas Hulot a cherché à montrer sa détermination sur chaque sujet. Comme pour répondre à ceux qui suggéraient que son entrée au gouvernement avait été accompagnée de compromissions sur certains points. « Il y aura un temps - six mois - pour une médiation. Je suis intimement convaincu qu'il y a de possibles alternatives à Notre-Dame-des-Landes qui peuvent nous permettre, à tous, de sortit par le haut » a-t-il notamment déclaré alors que beaucoup de commentateurs estimaient que pour ce dossier, le référendum local empêchait désormais d’agir. Pour ce qui est du nucléaire, la tâche s’avère plus compliquée puisque Emmanuel Macron a déclaré en campane qu’il s’agissait d’une filière d’avenir. Nicolas Hulot, affirme viser l’objectif de 50% d’atome dans le mi énergétique d’ici 2025.
Il apparaît cependant de manière assez évidente que le ministre ne parviendra pas à peser sur tous les sujets qui lui tiennent à cœur. C’est notamment le cas du Traité de libre-échange avec le Canada, le Ceta, qu’il a vertement dénoncé jusqu’à récemment durant la campagne. Largement engagé avec le soutien de la France, Hulot a cependant affirmé que le président de la République s’était engagé à « en étudier la cohérence avec nos objectifs climatiques, avec le souci de justice sociale. »
Dans le domaine de la défense de l’environnement et la transition écologique, les dossiers sont tous chargés de symboles à force d’être des lignes de front entre les gouvernements successifs et les militants. Dans une longue interview au Journal du Dimanche, Nicolas Hulot a cherché à montrer sa détermination sur chaque sujet. Comme pour répondre à ceux qui suggéraient que son entrée au gouvernement avait été accompagnée de compromissions sur certains points. « Il y aura un temps - six mois - pour une médiation. Je suis intimement convaincu qu'il y a de possibles alternatives à Notre-Dame-des-Landes qui peuvent nous permettre, à tous, de sortit par le haut » a-t-il notamment déclaré alors que beaucoup de commentateurs estimaient que pour ce dossier, le référendum local empêchait désormais d’agir. Pour ce qui est du nucléaire, la tâche s’avère plus compliquée puisque Emmanuel Macron a déclaré en campane qu’il s’agissait d’une filière d’avenir. Nicolas Hulot, affirme viser l’objectif de 50% d’atome dans le mi énergétique d’ici 2025.
Il apparaît cependant de manière assez évidente que le ministre ne parviendra pas à peser sur tous les sujets qui lui tiennent à cœur. C’est notamment le cas du Traité de libre-échange avec le Canada, le Ceta, qu’il a vertement dénoncé jusqu’à récemment durant la campagne. Largement engagé avec le soutien de la France, Hulot a cependant affirmé que le président de la République s’était engagé à « en étudier la cohérence avec nos objectifs climatiques, avec le souci de justice sociale. »