Dans certaines villes, c’est devenu un réflexe. Quand un pic de pollution s’annonce comme accompagnement d’un épisode météorologique particulier, des restrictions de circulation sont immédiatement décidées. Les automobilistes sont habitués et des solutions sont généralement trouvées par les banlieusards ou propriétaires de véhicules bannis. En somme, le dispositif est entré dans les habitudes et il ne déclenche plus les vagues d’indignations de ses débuts.
La machine semble se mettre en marche toujours de la même façon. C’est lorsque la météo par quelque épisode exceptionnel fait la une de l’actualité pendant plusieurs jours voire semaines d’affilé que la pollution finit par prendre le relai. Actuellement, c’est la canicule et les températures élevées qui se sont installées depuis le mois de juillet qui ont annoncé un pic de pollution important. La région parisienne, l’Est du pays et la vallée du Rhône sont les premiers concernés.
« En Île-de-France, la qualité de l'air devrait être particulièrement mauvaise lundi, avec des niveaux d'ozone compris entre 190 et 220 microgrammes/m3 en moyenne horaire, selon Airparif. Il s'agira du 12e jour de dépassement du seuil d'information depuis début juillet pour la région parisienne. Le préfet de police a ainsi "décidé de mettre en place la circulation différenciée sur le territoire métropolitain couvrant tout le périmètre compris à l'intérieur de l'A86" (autoroute circulaire en proche banlieue). Les véhicules Crit'air 4 et 5 sont ainsi interdits de circulation lundi et jusqu'à nouvel ordre. Mais en cas de départ en vacances "les agents chargés du contrôle feront preuve de discernement", a précisé la mairie. Depuis samedi, la vitesse maximale a été abaissée de 20 km/h sur les autoroutes et nationales franciliennes » lit-on sur Europe 1.fr , qui détaille les mêmes dispositifs mis en place pour Strasbourg, Lyon et la vallée du Rhone.
Reste que pour être pleinement efficaces, ces mesures devraient se généraliser sur d’autres grandes villes largement touchées par la pollution. A Nice et Marseille, pour ne citer que les plus importantes, les restrictions de circulation ne sont pas encore entrées dans les mœurs.
La machine semble se mettre en marche toujours de la même façon. C’est lorsque la météo par quelque épisode exceptionnel fait la une de l’actualité pendant plusieurs jours voire semaines d’affilé que la pollution finit par prendre le relai. Actuellement, c’est la canicule et les températures élevées qui se sont installées depuis le mois de juillet qui ont annoncé un pic de pollution important. La région parisienne, l’Est du pays et la vallée du Rhône sont les premiers concernés.
« En Île-de-France, la qualité de l'air devrait être particulièrement mauvaise lundi, avec des niveaux d'ozone compris entre 190 et 220 microgrammes/m3 en moyenne horaire, selon Airparif. Il s'agira du 12e jour de dépassement du seuil d'information depuis début juillet pour la région parisienne. Le préfet de police a ainsi "décidé de mettre en place la circulation différenciée sur le territoire métropolitain couvrant tout le périmètre compris à l'intérieur de l'A86" (autoroute circulaire en proche banlieue). Les véhicules Crit'air 4 et 5 sont ainsi interdits de circulation lundi et jusqu'à nouvel ordre. Mais en cas de départ en vacances "les agents chargés du contrôle feront preuve de discernement", a précisé la mairie. Depuis samedi, la vitesse maximale a été abaissée de 20 km/h sur les autoroutes et nationales franciliennes » lit-on sur Europe 1.fr , qui détaille les mêmes dispositifs mis en place pour Strasbourg, Lyon et la vallée du Rhone.
Reste que pour être pleinement efficaces, ces mesures devraient se généraliser sur d’autres grandes villes largement touchées par la pollution. A Nice et Marseille, pour ne citer que les plus importantes, les restrictions de circulation ne sont pas encore entrées dans les mœurs.