Avec des données plus précises on a de meilleurs arguments. C’est en substance ce qu’a dit la Mairie de Paris en annonçant le lancement du dispositif « Pollutrack ». D’ici la fin de l’été, cette nouvelle méthode doit permettre d’évaluer plus précisément le niveau de particules fines présentes dans l’air. « Ce dispositif, baptisé «pollutrack», est installé sur le toit des voitures d'Enedis (ex-ERDF), le gestionnaire du réseau de distribution d'électricité: 60 véhicules dès à présent, 300 d'ici la fin de l'été. « La question de la mesure est un élément majeur de la confiance et du débat public », a expliqué Anne Hidalgo lors d'une conférence de presse » rapporte Le Figaro.
Le dispositif s’inscrit dans la guerre contre les particules fines que la mairie a déclarée. D’après les chiffres officiels du département santé de la mairie, chaque année 6 500 personnes meurent à cause de la pollution. « Pollutrack » est une nouvelle arme pour cette lutte, comme Airparif en est une depuis 1979.
« Airparif nous donne les informations nécessaires depuis longtemps. Les technologies nouvelles vont apporter des éléments supplémentaires. On a besoin de ça pour que nos arguments (dans la lutte contre la pollution de l'air, NDLR) ne soient plus niés par des gens qui combattent la rationalité », a déclaré la maire de Paris à cette occasion.
En comparaison avec Airparif qui comptait sur soixante-dix stations, la société PlanetWatch24 qui va gérer Pollutrack compte utiliser les 300 véhicules équipés pour proposer en temps réel une cartographie du niveau de particules fines à hauteur d’homme. Des informations qui seront disponibles pour le public à tout moment. Airparif, qui continuera à exister et à accomplir sa mission, s’est félicité du lancement de ce dispositif qui doit permettre de gagner en précision.
Le dispositif s’inscrit dans la guerre contre les particules fines que la mairie a déclarée. D’après les chiffres officiels du département santé de la mairie, chaque année 6 500 personnes meurent à cause de la pollution. « Pollutrack » est une nouvelle arme pour cette lutte, comme Airparif en est une depuis 1979.
« Airparif nous donne les informations nécessaires depuis longtemps. Les technologies nouvelles vont apporter des éléments supplémentaires. On a besoin de ça pour que nos arguments (dans la lutte contre la pollution de l'air, NDLR) ne soient plus niés par des gens qui combattent la rationalité », a déclaré la maire de Paris à cette occasion.
En comparaison avec Airparif qui comptait sur soixante-dix stations, la société PlanetWatch24 qui va gérer Pollutrack compte utiliser les 300 véhicules équipés pour proposer en temps réel une cartographie du niveau de particules fines à hauteur d’homme. Des informations qui seront disponibles pour le public à tout moment. Airparif, qui continuera à exister et à accomplir sa mission, s’est félicité du lancement de ce dispositif qui doit permettre de gagner en précision.