« Effective depuis le lancement de Paris-Plages mi-juillet, la très polémique fermeture aux voitures de ce tronçon de 3,5 km a été officiellement entérinée par la signature d’un arrêté municipal le 18 octobre », explique un article en ligne du journal Le Parisien, qui ajoute que « comme la mairie de Paris le prévoyait dans son projet, ce changement majeur dans le plan de circulation de la capitale (le tronçon fermé accueillait jusqu’à 43 000 véhicules par jour) va maintenant être suivi par une campagne de mesures de la pollution. Airparif, l’association indépendante qui a en été chargée, a détaillé ce jeudi le dispositif mis en place. »
L’article ajoute qu’il « s’appuiera sur un réseau de près de 80 points de mesure (voir l’infographie). Ces équipements seront évidemment très nombreux sur les quais de la rive droite, au-dessus du tronçon désormais piéton, où un capteur sera installé tous les 300 m. »
Cependant, « des stations de mesure de la pollution de l’air seront également implantées bien au-delà de ce périmètre. Sur les axes routiers parisiens où la circulation est susceptible de se reporter (comme le boulevard Saint-Germain par exemple) mais aussi à l’extérieur de Paris et notamment sur la A4 au débouché de la voie Georges-Pompidou. »
L’article ajoute qu’il « s’appuiera sur un réseau de près de 80 points de mesure (voir l’infographie). Ces équipements seront évidemment très nombreux sur les quais de la rive droite, au-dessus du tronçon désormais piéton, où un capteur sera installé tous les 300 m. »
Cependant, « des stations de mesure de la pollution de l’air seront également implantées bien au-delà de ce périmètre. Sur les axes routiers parisiens où la circulation est susceptible de se reporter (comme le boulevard Saint-Germain par exemple) mais aussi à l’extérieur de Paris et notamment sur la A4 au débouché de la voie Georges-Pompidou. »
Un plan de mesures de la pollution
Sur tous ces sites, « Airparif mesurera les teneurs en particules fines, en oxydes d’azote et en benzène (3 marqueurs du trafic automobile) à l’occasion de deux campagnes d’un mois dans des conditions climatiques différentes. La première débutera dans 15 jours pour s’achever mi-décembre. La seconde aura lieu durant l’été 2017. »
L’article du Parisien ajoute : « Pas sûr que ce plan de mesures de la pollution — d’un coût de 130 000 € majoritairement financés par la mairie — suffise à rassurer les opposants à la piétonisation des berges. Avant même le vote du projet, les élus LR du Conseil de Paris avaient dénoncé la méthodologie de campagne de mesures menées sans données de référence datant d’avant la piétonisation. »
Lire l’intégralité de l’article du Parisien ici.
L’article du Parisien ajoute : « Pas sûr que ce plan de mesures de la pollution — d’un coût de 130 000 € majoritairement financés par la mairie — suffise à rassurer les opposants à la piétonisation des berges. Avant même le vote du projet, les élus LR du Conseil de Paris avaient dénoncé la méthodologie de campagne de mesures menées sans données de référence datant d’avant la piétonisation. »
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