La France est un pays qui ne connait que très rarement et sur des zones délimitées des situations de stress hydrique. Pour autant les tendances sont à surveiller et le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) réalise une veille très utile des niveaux des nappes phréatiques. Dans un communiqué de début janvier, il montre ainsi que ses observations sur les faibles niveaux des réserves à la fin de l’automne se confirment. Heureusement, des précipitations plus récentes semblent inverser la tendance.
« Près des deux tiers des nappes (64%) affichent un niveau modérément bas à très bas. Une situation de basses eaux qui se prolonge jusqu'en fin d'année n'est pas habituelle. Elle traduit l'absence d'incidence notable des premières pluies automnales qui sont très attendues pour assurer la recharge des aquifères. À l'exception de quelques secteurs assez peu nombreux, on note, sur la plus grande partie du territoire, que les niveaux de nappes traduisent un déficit de recharge, en l'absence de précipitations notables » commence le communiqué.
Sans tirer le signal d’alarme sur un risque imminent, les ingénieurs attirent l’attention sur le fait que les niveaux moyens sont largement en dessous de la moyenne. « La tendance d'évolution du niveau des nappes traduit une nette tendance à une recharge qui devient active avec près des deux-tiers des points (63%) désormais orientés à la hausse. La tendance d'évolution à la baisse du niveau des nappes est faible (12%) et le nombre de point dont le niveau est stable augmente (25%). Cette situation montre que la bascule entre basses eaux et reprise d'une recharge des nappes est amorcée et que l'on s'oriente progressivement vers une recharge hivernale qui devient efficace » explique le communiqué du BRGM qui résume la situation de ce début d’année comme un « un début assez timide de recharge hivernale mais une tendance qui semble se confirmer malgré tout. »
« Près des deux tiers des nappes (64%) affichent un niveau modérément bas à très bas. Une situation de basses eaux qui se prolonge jusqu'en fin d'année n'est pas habituelle. Elle traduit l'absence d'incidence notable des premières pluies automnales qui sont très attendues pour assurer la recharge des aquifères. À l'exception de quelques secteurs assez peu nombreux, on note, sur la plus grande partie du territoire, que les niveaux de nappes traduisent un déficit de recharge, en l'absence de précipitations notables » commence le communiqué.
Sans tirer le signal d’alarme sur un risque imminent, les ingénieurs attirent l’attention sur le fait que les niveaux moyens sont largement en dessous de la moyenne. « La tendance d'évolution du niveau des nappes traduit une nette tendance à une recharge qui devient active avec près des deux-tiers des points (63%) désormais orientés à la hausse. La tendance d'évolution à la baisse du niveau des nappes est faible (12%) et le nombre de point dont le niveau est stable augmente (25%). Cette situation montre que la bascule entre basses eaux et reprise d'une recharge des nappes est amorcée et que l'on s'oriente progressivement vers une recharge hivernale qui devient efficace » explique le communiqué du BRGM qui résume la situation de ce début d’année comme un « un début assez timide de recharge hivernale mais une tendance qui semble se confirmer malgré tout. »