Les plans d’urgences et les mesures du gouvernement, de la Préfecture de Paris ou de la Mairie ne suffisent pas aux militants d’Europe Ecologie Les Verts (EELV). Mercredi 19 mars, pour son dernier meeting, le candidat Vert de Paris Christophe Nadjovski était entouré de deux ministres du gouvernement Ayrault : Cécile Duflot (Logement) et Pascal Canfin (Développement). Ces personnalités ont donné des allures nationales à l’événement local.
Sur le fond, le meeting ramène au centre des réflexions sur la conduite d’une politique environnementale. Alliés au gouvernement et au parlement, les Verts martèlent que sans eux point d’écologie. À l’image de Cécile Duflot qui affirme « il faut des écologistes » parce que selon elle « on a jamais fait d’écologie sans écologistes ».
Sur le fond, le meeting ramène au centre des réflexions sur la conduite d’une politique environnementale. Alliés au gouvernement et au parlement, les Verts martèlent que sans eux point d’écologie. À l’image de Cécile Duflot qui affirme « il faut des écologistes » parce que selon elle « on a jamais fait d’écologie sans écologistes ».
« De l’air quand d’autres proposent du vent »
Le candidat des Verts à la mairie de Paris s’est attaqué à la politique du gouvernement, de la majorité et de l’opposition. « Je propose aux Parisiens et aux Parisiennes de l’air quand d’autres proposent du vent.. » a-t-il dit. D’autres attaques à peine dissimulées ont été entendues contre les deux favorites à Paris mais aussi contre le gouvernement.
Au-delà du calendrier politique qui fait évoluer les discours, le discours du parti écologiste montre bien que les problématiques environnementales restent un point de fracture politique. Les débats autour du gaz de schiste, les mesures anti pollution et le récent refus des députés à prendre des mesures coercitives pour la RSE des firmes multinationales (notre article), sont autant de sujets qui mettent l’écologie au centre des débats.
Dans la plupart des grandes villes, Paris en tête, les candidats de tous les partis ont inséré dans leur programme des mesures environnementales, du coup Pascal Canfin estime que « maintenant, l’enjeu, c’est de savoir quelle sera la tonalité et l’équilibre au sein de la future majorité, s’il y aura plus ou moins d’écologistes. »
Au-delà du calendrier politique qui fait évoluer les discours, le discours du parti écologiste montre bien que les problématiques environnementales restent un point de fracture politique. Les débats autour du gaz de schiste, les mesures anti pollution et le récent refus des députés à prendre des mesures coercitives pour la RSE des firmes multinationales (notre article), sont autant de sujets qui mettent l’écologie au centre des débats.
Dans la plupart des grandes villes, Paris en tête, les candidats de tous les partis ont inséré dans leur programme des mesures environnementales, du coup Pascal Canfin estime que « maintenant, l’enjeu, c’est de savoir quelle sera la tonalité et l’équilibre au sein de la future majorité, s’il y aura plus ou moins d’écologistes. »