Le mondial de l’automobile 2018 fait la part belle à l’électrique. A tel point, que la presse souligne unanimement ce changement de taille avec des voitures électriques à tous les étages. « Mercedes lèvera le voile sur son imposante EQC, Audi sa « e-tron » (mieux vaut prononcer le nom à l'anglaise...), PSA présentera au public la nouvelle DS3 Crossback et sa déclinaison lithium-ion, Kia la grande Niro. « Last but not least », Tesla montrera la fameuse Model 3, la voiture qui cartonne aux Etats-Unis malgré ses galères de production. Cette fois, il ne s'agit pas de concept-cars futuristes, mais de véhicules de série, ceux que vous pourrez bientôt conduire de vos propres mains » remarque le quotidien économique Les Echos.
Alors que le salon ouvre ses portes mardi 2 octobre à la presse, il est difficile de ne pas remarquer ce changement de taille. Un déclic des constructeurs qui jure pourtant avec la demande des consommateurs et l’achat de voitures électriques qui est encore loin d’être grand public. Les fabricants continuent tout de même à miser sur ces motorisations puisqu’en 2009, neuf nouveaux modèles vont voir le jour chez Mercedes, Volkswagen, Citroën, Peugeot ou Opel avec des prix qui vont commencer à 25 000 euros.
« Cette année, les voitures électriques et hybrides devraient déjà représenter un peu moins de 7 % de la production mondiale, d'après les calculs de PwC. En 2024, on devrait être à plus de 19 %. Toute la question est désormais de savoir si ces engins trouveront preneurs - alors que les avocats de l'électrification déplorent souvent le manque d'offre actuelle. Au premier semestre, les ventes de voitures 100 % électriques ne pesaient qu'un petit pourcent du marché européen... A vrai dire, les constructeurs, qui ont englouti bon gré mal gré des milliards dans la propulsion électrique, ont tout intérêt à ce que la vague parte pour de bon » résume le journal.
Maintenant que les constructeurs ont fait leur part, les regards se tournent vers les pouvoirs publics. Parviendront-ils à développer assez rapidement les infrastructures pour que les automobilistes les plus réticents franchissent le cap ?
Alors que le salon ouvre ses portes mardi 2 octobre à la presse, il est difficile de ne pas remarquer ce changement de taille. Un déclic des constructeurs qui jure pourtant avec la demande des consommateurs et l’achat de voitures électriques qui est encore loin d’être grand public. Les fabricants continuent tout de même à miser sur ces motorisations puisqu’en 2009, neuf nouveaux modèles vont voir le jour chez Mercedes, Volkswagen, Citroën, Peugeot ou Opel avec des prix qui vont commencer à 25 000 euros.
« Cette année, les voitures électriques et hybrides devraient déjà représenter un peu moins de 7 % de la production mondiale, d'après les calculs de PwC. En 2024, on devrait être à plus de 19 %. Toute la question est désormais de savoir si ces engins trouveront preneurs - alors que les avocats de l'électrification déplorent souvent le manque d'offre actuelle. Au premier semestre, les ventes de voitures 100 % électriques ne pesaient qu'un petit pourcent du marché européen... A vrai dire, les constructeurs, qui ont englouti bon gré mal gré des milliards dans la propulsion électrique, ont tout intérêt à ce que la vague parte pour de bon » résume le journal.
Maintenant que les constructeurs ont fait leur part, les regards se tournent vers les pouvoirs publics. Parviendront-ils à développer assez rapidement les infrastructures pour que les automobilistes les plus réticents franchissent le cap ?