Microsoft fait monter les enchères. Alors que les entreprises de la Silicone Valley multiplient les annonces dans le domaine de l’environnement et la lutte contre le réchauffement, le groupe est allé plus loin que ses concurrents. Le PDG de Microsoft, Satya Nadella, a annoncé qu’un milliard de dollars allaient être investis dans un fonds pour l’innovation et le climat qui va être créé.
L’idée est de financer les recherches et travaux dans le domaine. Alors que certains retiennent qu’il ne s’agit que d’une toute petite proportion des recettes annuelles du groupe (125 milliards de dollars), soulignons qu’il s’agit d’un bond important par rapport aux 50 millions de dollars promis en 2017 pour soutenir logistiquement la recherche. Le soutien qui sera donné par l’accès à des outils informatiques gratuitement doit aussi permettre à l’entreprise de bénéficier des innovations technologiques pour baisser son impact environnemental. « Le géant informatique, qui affirme que ses activités vont émettre 16 mégatonnes de carbone cette année, entend réduire de plus de moitié son impact environnemental d'ici à 2030. Dans cinq ans, ses serveurs et ses immeubles de bureaux seront alimentés à 100 % en énergie renouvelable. A cette échéance, il espère pouvoir se dire « carbone négatif », ce qui veut dire qu'il financerait davantage de plans de reforestation et de séquestration hors atmosphère du carbone, qu'il n'en faut pour absorber les émissions dont il sera encore responsable dans dix ans » expliquent Les Echos.
Et pour une fois de plus battre ses concurrents dans le domaine, Microsoft invente un nouveau concept, celui de la neutralité carbone absolue. A savoir, la compensation de l’ensemble des émissions depuis la création de la société en 1975 d’ici 2050. Une sorte de pied de nez à Google qui assure avoir atteint la neutralité carbone depuis 2007 quand Amazon vise 2040.
L’idée est de financer les recherches et travaux dans le domaine. Alors que certains retiennent qu’il ne s’agit que d’une toute petite proportion des recettes annuelles du groupe (125 milliards de dollars), soulignons qu’il s’agit d’un bond important par rapport aux 50 millions de dollars promis en 2017 pour soutenir logistiquement la recherche. Le soutien qui sera donné par l’accès à des outils informatiques gratuitement doit aussi permettre à l’entreprise de bénéficier des innovations technologiques pour baisser son impact environnemental. « Le géant informatique, qui affirme que ses activités vont émettre 16 mégatonnes de carbone cette année, entend réduire de plus de moitié son impact environnemental d'ici à 2030. Dans cinq ans, ses serveurs et ses immeubles de bureaux seront alimentés à 100 % en énergie renouvelable. A cette échéance, il espère pouvoir se dire « carbone négatif », ce qui veut dire qu'il financerait davantage de plans de reforestation et de séquestration hors atmosphère du carbone, qu'il n'en faut pour absorber les émissions dont il sera encore responsable dans dix ans » expliquent Les Echos.
Et pour une fois de plus battre ses concurrents dans le domaine, Microsoft invente un nouveau concept, celui de la neutralité carbone absolue. A savoir, la compensation de l’ensemble des émissions depuis la création de la société en 1975 d’ici 2050. Une sorte de pied de nez à Google qui assure avoir atteint la neutralité carbone depuis 2007 quand Amazon vise 2040.