En effet, les autorités ont interdit à 40% des voitures de circuler, une opération qui aurait coûté plus de 300 millions de dollars selon les informations de la Chambre de commerce.
Un article en ligne du journal Le Point, d’après une dépêche AFP, explique que « déjà mi-mars, la forte concentration d'ozone dans cette métropole de 21 millions d'habitants, où circulent 5,5 millions de véhicules, avait conduit les autorités locales à activer la phase I du plan d'urgence environnementale, pour la première fois en 13 ans. »
Un article en ligne du journal Le Point, d’après une dépêche AFP, explique que « déjà mi-mars, la forte concentration d'ozone dans cette métropole de 21 millions d'habitants, où circulent 5,5 millions de véhicules, avait conduit les autorités locales à activer la phase I du plan d'urgence environnementale, pour la première fois en 13 ans. »
La circulation en partie interdite
L’article du Point souligne que « pendant quatre jours la circulation avait été limitée, avant un retour à la normale. Puis à partir du 5 avril, un programme interdisant la circulation de 20% des voitures a été mis en place, jusqu'au 30 juin. »
Cependant, « ces restrictions représentent un coût financier pour les habitants et les commerces, évalué dans un communiqué à ‘environ 5,4 milliards de pesos’, soit 308 millions de dollars, par la Chambre de commerce de la capitale », ajoute l’article.
En outre, « les commerçants ont demandé aux autorités d'élargir les options de transport public, qui se sont pour l'instant révélées insuffisantes. » L’article du Point précise qu’« ils ont aussi dénoncé la "corruption" existant dans les centres de contrôle technique, permettant de laisser en circulation des voitures trop polluantes. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
Cependant, « ces restrictions représentent un coût financier pour les habitants et les commerces, évalué dans un communiqué à ‘environ 5,4 milliards de pesos’, soit 308 millions de dollars, par la Chambre de commerce de la capitale », ajoute l’article.
En outre, « les commerçants ont demandé aux autorités d'élargir les options de transport public, qui se sont pour l'instant révélées insuffisantes. » L’article du Point précise qu’« ils ont aussi dénoncé la "corruption" existant dans les centres de contrôle technique, permettant de laisser en circulation des voitures trop polluantes. »
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