L’entreprenariat social a le vent en poupe. Frisant l’effet de mode, il est sur toutes les lèvres, comme la suite logique de l’explosion de la RSE. Mais si pour beaucoup, l’entreprenariat social exploite en partie les rapports Nord Sud, la réalité est bien plus complexe. Dans les pays en développement où les classes moyennes et supérieures ont explosé avec un nombre croissant de jeunes diplômés, les mouvements internes sont privilégiés. Dans le domaine, le Maghreb fait figure d’exemple avec le meilleur niveau universitaire du continent africain.
C’est ce que montre un article du site spécialisé Maghreb Emergent « A l’instar des pratiques des universités et grandes écoles (Harvard, Yale, HEC), des réseaux d’étudiants au sud de la Méditerranée s’intéressent de plus en plus à l’entrepreneuriat social qui fait l’objet de conférences et d’initiatives. C’est le cas pour le réseau d’étudiants Algerian Center for Social Entrepreneurship fondé par de jeunes étudiants et diplômés de même que le Moroccan Center for Innovation and Social Entrepreneurship. C’est le constat émis par l’association des agences d’investissement en Méditerranée (ANIMA) dont l’Andi est membre. »
D’après un rapport sur l’Economlie sociale et solidaire (ESS) dont le site se fait l’écho, le Maghreb possède un fort potentiel de développement dans le domaine avec tous les outils pour y parvenir : « ANIMA est également sensible à la dynamique de l’ESS car l’une des premières qualités de cette offre entrepreneuriale est qu’elle est la plupart du temps innovante. Les solutions inventées permettent souvent d’enrichir les services et produits dans les domaines du social, de la santé, de l'éducation mais aussi dans des secteurs stratégiques pour les pays méditerranéens : écotourisme, énergies renouvelables, industries culturelles et créatives ».
Surtout, dans ces pays où les différences de niveau de vie entre les plus pauvres et les plus riches sont très importantes, l’ESS peut être un levier formidable de développement et d’équité sociale. « Actuellement, près de 60 % de la population des pays du sud de la Méditerranée ont moins de 30 ans et ce ratio va encore croître puisque presque 3 millions de personnes entrent chaque année sur un marché du travail peu porteur. Or cette jeunesse est touchée de plein fouet par le chômage, et cela qu’elle soit diplômée ou pas. La création d’emplois durables et non délocalisables pour les jeunes figure ainsi en haut de l’agenda des pays : une problématique à laquelle répond concrètement l’ESS. Les entreprises sociales ciblent en effet des activités ancrées dans le territoire et elles créent plus d’emplois que la moyenne » conclue Maghreb Emergent.
Lire ici en intégralité l’article source sur le site Maghreb Emergent
C’est ce que montre un article du site spécialisé Maghreb Emergent « A l’instar des pratiques des universités et grandes écoles (Harvard, Yale, HEC), des réseaux d’étudiants au sud de la Méditerranée s’intéressent de plus en plus à l’entrepreneuriat social qui fait l’objet de conférences et d’initiatives. C’est le cas pour le réseau d’étudiants Algerian Center for Social Entrepreneurship fondé par de jeunes étudiants et diplômés de même que le Moroccan Center for Innovation and Social Entrepreneurship. C’est le constat émis par l’association des agences d’investissement en Méditerranée (ANIMA) dont l’Andi est membre. »
D’après un rapport sur l’Economlie sociale et solidaire (ESS) dont le site se fait l’écho, le Maghreb possède un fort potentiel de développement dans le domaine avec tous les outils pour y parvenir : « ANIMA est également sensible à la dynamique de l’ESS car l’une des premières qualités de cette offre entrepreneuriale est qu’elle est la plupart du temps innovante. Les solutions inventées permettent souvent d’enrichir les services et produits dans les domaines du social, de la santé, de l'éducation mais aussi dans des secteurs stratégiques pour les pays méditerranéens : écotourisme, énergies renouvelables, industries culturelles et créatives ».
Surtout, dans ces pays où les différences de niveau de vie entre les plus pauvres et les plus riches sont très importantes, l’ESS peut être un levier formidable de développement et d’équité sociale. « Actuellement, près de 60 % de la population des pays du sud de la Méditerranée ont moins de 30 ans et ce ratio va encore croître puisque presque 3 millions de personnes entrent chaque année sur un marché du travail peu porteur. Or cette jeunesse est touchée de plein fouet par le chômage, et cela qu’elle soit diplômée ou pas. La création d’emplois durables et non délocalisables pour les jeunes figure ainsi en haut de l’agenda des pays : une problématique à laquelle répond concrètement l’ESS. Les entreprises sociales ciblent en effet des activités ancrées dans le territoire et elles créent plus d’emplois que la moyenne » conclue Maghreb Emergent.
Lire ici en intégralité l’article source sur le site Maghreb Emergent