La gestion des forêts est un levier fondamental pour lutter contre le réchauffement climatique global. « Il est nécessaire d'agir de manière urgente afin de soutenir et de protéger les forêts de la planète en vue d'atteindre nos objectifs mondiaux » a déclaré José Graziano da Silva, le directeur de la FAO en lançant le Comité des forêts organisé par son organisation.
« Les forêts et les arbres contribuent de manière essentielle à la sécurité alimentaire, aux économies rurales et à la fourniture d'eau potable et d'énergie renouvelable. Ils contribuent également à près de 20 pour cent des revenus pour les ménages ruraux, dans les pays en développement - voire plus dans certaines régions - et fournissent à une personne sur trois dans le monde du combustible pour cuisiner et se chauffer » rappelle le communiqué publié par cette organisation qui dépend des Nations Unies.
Des représentants de gouvernements se sont rassemblé sous l’égide de la FAO pour aborder ce sujet et dresser un bilan. Le président du Sri Lanka, Maithripala Sirisena, a dressé le bilan de son pays qui a vu la proportion de forêt passer de la moitié du territoire à seulement 29% en deux siècles. «Le Sri Lanka est maintenant très impliqué dans la protection du couvert forestier existant, avec notamment l'objectif de le faire augmenter de 32 pour cent (de sa surface totale), et ce, à l'aide de meilleures pratiques qui permettront d'améliorer la gouvernance foncière, élément essentiel à la réalisation des ODD (Objectifs de développement durable ndlr)», assure le chef d’Etat.
Parmi les leviers les plus généraux pour bien protéger les forêts, la FAO se réfère à un rapport qu’elle a publié cette année. « Le rapport de la FAO sur La Situation des forêts du monde 2018 insiste sur l'importance d'avoir des cadres juridiques clairs pour les droits dans le cadre du régime forestier, salue la tendance actuelle consistant à renforcer la gouvernance à l'échelle locale, appelle à créer des partenariats efficaces et invite le secteur privé à s'impliquer davantage en vue de pouvoir atteindre des objectifs durables. »
« Les forêts et les arbres contribuent de manière essentielle à la sécurité alimentaire, aux économies rurales et à la fourniture d'eau potable et d'énergie renouvelable. Ils contribuent également à près de 20 pour cent des revenus pour les ménages ruraux, dans les pays en développement - voire plus dans certaines régions - et fournissent à une personne sur trois dans le monde du combustible pour cuisiner et se chauffer » rappelle le communiqué publié par cette organisation qui dépend des Nations Unies.
Des représentants de gouvernements se sont rassemblé sous l’égide de la FAO pour aborder ce sujet et dresser un bilan. Le président du Sri Lanka, Maithripala Sirisena, a dressé le bilan de son pays qui a vu la proportion de forêt passer de la moitié du territoire à seulement 29% en deux siècles. «Le Sri Lanka est maintenant très impliqué dans la protection du couvert forestier existant, avec notamment l'objectif de le faire augmenter de 32 pour cent (de sa surface totale), et ce, à l'aide de meilleures pratiques qui permettront d'améliorer la gouvernance foncière, élément essentiel à la réalisation des ODD (Objectifs de développement durable ndlr)», assure le chef d’Etat.
Parmi les leviers les plus généraux pour bien protéger les forêts, la FAO se réfère à un rapport qu’elle a publié cette année. « Le rapport de la FAO sur La Situation des forêts du monde 2018 insiste sur l'importance d'avoir des cadres juridiques clairs pour les droits dans le cadre du régime forestier, salue la tendance actuelle consistant à renforcer la gouvernance à l'échelle locale, appelle à créer des partenariats efficaces et invite le secteur privé à s'impliquer davantage en vue de pouvoir atteindre des objectifs durables. »