L’organisation européenne Transport & Environnement redoute un scandale sur la question de l’essence. Mardi 25 octobre, « elle s’est inquiétée des discussions actuelles entre les pouvoirs publics et l’industrie automobile autour de la révision de la réglementation européenne de 2007 relatives aux émissions polluantes concernant notamment les véhicules à essence », comme l’explique un article en ligne du journal Le Monde, qui ajoute que « c’est l’un des effets indésirables de la lutte contre les émissions de dioxyde de carbone dans le secteur automobile. En favorisant le développement de véhicules essence plus sobres, les Etats ont poussé les constructeurs à développer des moteurs plus petits et plus performants. »
L’article précise que « ces derniers ont alors conçu des moteurs de trois à quatre cylindres turbo à injection directe, comme les moteurs diesel », précisant que « pas moins de 40 % des nouveaux véhicules essence immatriculés sont aujourd’hui dotés de ce type de moteur. »
L’article précise que « ces derniers ont alors conçu des moteurs de trois à quatre cylindres turbo à injection directe, comme les moteurs diesel », précisant que « pas moins de 40 % des nouveaux véhicules essence immatriculés sont aujourd’hui dotés de ce type de moteur. »
L’essence rejette des particules fines
L’essence rejette des particules fines : « en injectant directement dans la chambre de combustion le carburant au lieu de passer par les soupapes d’admission, le mélange oxygène-carburant n’est pas homogène et produit des particules fines en nombre (PN). Leur taille peut être encore plus petite qu’un virus ou qu’une molécule », explique Le Monde.
Le risque sanitaire est important car « ces particules peuvent transporter dans les organismes humains, dans le sang ou les alvéoles pulmonaires, des métaux toxiques et des hydrocarbonés. »
D’ici à 2030, « les particules émises par les modèles essence pourraient d’ailleurs dépasser celles émises par les diesel. Les pouvoirs publics ont anticipé cette question il y a plusieurs années », poursuit l’article du Monde, qui ajoute que « la Commission européenne a fixé un taux maximum de rejet de ces particules fines pour tous les nouveaux modèles essence mis sur le marché à partir de septembre 2017, et pour l’ensemble des voitures vendues dans l’Union européenne à partir de septembre 2018. »
Lire l’intégralité de l’article du Monde ici.
Le risque sanitaire est important car « ces particules peuvent transporter dans les organismes humains, dans le sang ou les alvéoles pulmonaires, des métaux toxiques et des hydrocarbonés. »
D’ici à 2030, « les particules émises par les modèles essence pourraient d’ailleurs dépasser celles émises par les diesel. Les pouvoirs publics ont anticipé cette question il y a plusieurs années », poursuit l’article du Monde, qui ajoute que « la Commission européenne a fixé un taux maximum de rejet de ces particules fines pour tous les nouveaux modèles essence mis sur le marché à partir de septembre 2017, et pour l’ensemble des voitures vendues dans l’Union européenne à partir de septembre 2018. »
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