La communauté internationale a appelé les pays riches à agir les premiers contre les hydrofluorocarbures, précise un article en ligne du journal L’Union.
Erik Solheim, le directeur du Programme des Nations unies pour l’environnement explique : « L’année passée à Paris (lors de la COP21), nous avions promis de protéger le monde des pires effets du changement climatique. Aujourd’hui, nous honorons cette promesse. »
L’article ajoute que « juridiquement contraignant, l’accord de Kigali est une avancée majeure dans la lutte contre le réchauffement climatique et permet de donner un signal positif à quelques semaines de la prochaine grande conférence annuelle sur le climat (COP22), à Marrakech (Maroc). »
Erik Solheim, le directeur du Programme des Nations unies pour l’environnement explique : « L’année passée à Paris (lors de la COP21), nous avions promis de protéger le monde des pires effets du changement climatique. Aujourd’hui, nous honorons cette promesse. »
L’article ajoute que « juridiquement contraignant, l’accord de Kigali est une avancée majeure dans la lutte contre le réchauffement climatique et permet de donner un signal positif à quelques semaines de la prochaine grande conférence annuelle sur le climat (COP22), à Marrakech (Maroc). »
Un accord qui fait presque l’unanimité
Sous la forme d’un amendement au Protocole de Montréal sur la protection de la couche d’ozone, cet accord « a été largement salué, bien que certains regrettent que des pays comme l’Inde ont décidé d’entamer la transition plus tard que la plupart des autres nations » souligne l‘article de L’Union.
Mattlan Zackhras, le représentant des Iles Marshall, assure dans un communiqué : « Ce n’est peut-être pas entièrement ce que nous souhaitions, mais cela reste un bon accord. »
L’élimination des HFC, « présents dans certains aérosols ou pour la fabrication de mousses isolantes, est de fait une question épineuse pour l’Inde, et il aura fallu plusieurs réunions bilatérales vendredi, notamment avec le secrétaire d’Etat américain John Kerry, pour débloquer les négociations. »
Dans un communiqué, le président américain Barack Obama souligne : « La diplomatie n’est pas une chose facile, mais nous pouvons travailler ensemble pour laisser à nos enfants une planète plus sûre, plus prospère et plus libre que celle dont nous avons hérité. »
Barack Obama a salué « l’entrée en vigueur du Pacte de Paris début novembre alors que la ministre française de l’Environnement et présidente de la COP21. »
Ainsi, comme le rappelle l’article de L’Union, le calendrier adopté samedi « prévoit qu’un premier groupe de pays, ceux dits «développés», réduise sa consommation de HFC de 10% d’ici à 2019 par rapport aux niveaux de 2011-2013, ce chiffre devant passer à 85% d’ici à 2036. »
Lire l'intégralité de l'article de L'Union ici.
Mattlan Zackhras, le représentant des Iles Marshall, assure dans un communiqué : « Ce n’est peut-être pas entièrement ce que nous souhaitions, mais cela reste un bon accord. »
L’élimination des HFC, « présents dans certains aérosols ou pour la fabrication de mousses isolantes, est de fait une question épineuse pour l’Inde, et il aura fallu plusieurs réunions bilatérales vendredi, notamment avec le secrétaire d’Etat américain John Kerry, pour débloquer les négociations. »
Dans un communiqué, le président américain Barack Obama souligne : « La diplomatie n’est pas une chose facile, mais nous pouvons travailler ensemble pour laisser à nos enfants une planète plus sûre, plus prospère et plus libre que celle dont nous avons hérité. »
Barack Obama a salué « l’entrée en vigueur du Pacte de Paris début novembre alors que la ministre française de l’Environnement et présidente de la COP21. »
Ainsi, comme le rappelle l’article de L’Union, le calendrier adopté samedi « prévoit qu’un premier groupe de pays, ceux dits «développés», réduise sa consommation de HFC de 10% d’ici à 2019 par rapport aux niveaux de 2011-2013, ce chiffre devant passer à 85% d’ici à 2036. »
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