Les implications du dérèglement climatique sont de plus en plus tangibles, avec des phénomènes météorologiques extrêmes. Dans ce contexte, les entreprises doivent reconnaître l’impact de leur consommation énergétique sur la planète.
Premièrement, la réduction de la consommation énergétique permet aux entreprises de diminuer leur empreinte carbone en adoptant des technologies plus économes en énergies et en favorisant les sources d’énergie renouvelable.
Deuxièmement, cette transition vers une consommation énergétique responsable représente une opportunité économique. Les entreprises qui investissent dans des pratiques durables et économes en énergie réalisent de fait des économies sur leurs coûts opérationnels à long terme.
Troisièmement, les incitations du gouvernement français et les réglementations environnementales sont favorables aux entreprises adoptant la sobriété énergétique.
De plus en plus de groupes français travaillent à accélérer leur transition énergétique, à l’image de La Poste, qui en tant qu’entreprise à mission, et dans la lignée de l’Accord de Paris, vise Zéro Emission Nette à horizon 2040.
C’est la raison pour laquelle le groupe s’engage à réduire sa consommation énergétique, et donc l’empreinte carbone de ses activités, notamment celle de son parc immobilier qui exploite 10 000 bâtiments sur 6 millions de m2 via sa foncière La Poste Immobilier. Chaque année, le parc consomme 990 GWH, soit la consommation d’une ville de 300 000 habitants.
Afin de mener à bien cette ambition, La Poste a signé, mardi 12 décembre dernier, un partenariat stratégique de long terme avec EDF. L’accord attribue à plusieurs filiales de l’énergéticien français, réunies en groupement, un marché global de performance portant sur la conception et la mise en œuvre d’un vaste programme de travaux d’efficacité énergétique.
« Au total, le groupe La Poste prévoit d’investir 400 millions d’euros pour améliorer l’empreinte carbone de ses bâtiments, avec pour objectif de réduire leur consommation énergétique de 20% et leurs émissions de CO2 de 35%, d’ici 2030 », précise l’entreprise à mission dans un communiqué.
Dans le détail, le programme prévoit notamment de déployer des systèmes de pilotage de la performance énergétique grâce à un Gestion Technique de Bâtiment (GTB) élargie dans 1 300 sites, ou encore de rénover les systèmes énergétiques (remplacement des chaudière et installation de pompes à chaleur, modernisation du système d’éclairage…) et l’enveloppe du bâtiment (rénovation du bâti et isolation) sur 500 sites.
La Poste compte aussi développer l’autoconsommation en installant des centrales solaires dans 250 sites postaux en toitures et sur ombrières de parkings. La puissance totale photovoltaïque installée atteindra 20 MWC d’ici 2028.
De plus, le groupe, qui possède l’une des plus grandes flottes de véhicules électriques européenne (40% de son parc total), va accélérer la mise en place d’infrastructures de recharge dans ses sites postaux. L’objectif est de fournir des bornes accessibles à ses salariés et clients, mais également au grand public.
Afin de mettre en œuvre le partenariat, un coentreprise sera créée entre La Poste Immobilier, qui détiendra 66% du capital, et EDF, qui en possédera 34%. Elle permettra aux deux acteurs d’unir leurs savoir-faire vis-à-vis de la transition énergétique. La coentreprise gérera le marché global de performance, planifiera les travaux, coordonnera les investissements et les opérations, et sera la garante des objectifs fixés et des indicateurs de performance.
« Enfin, en vue de décarboner ses approvisionnements en électricité, à hauteur de 80 à 120 GWh par an, soit environ 20% de sa consommation électrique, La Poste définira avec l’assistance de la co-entreprise sa stratégie d’achats et la consultation du marché pour la passation des contrats d’énergie long terme (PPA – Power Purchase Agreement) », conclut le groupe La Poste.
Premièrement, la réduction de la consommation énergétique permet aux entreprises de diminuer leur empreinte carbone en adoptant des technologies plus économes en énergies et en favorisant les sources d’énergie renouvelable.
Deuxièmement, cette transition vers une consommation énergétique responsable représente une opportunité économique. Les entreprises qui investissent dans des pratiques durables et économes en énergie réalisent de fait des économies sur leurs coûts opérationnels à long terme.
Troisièmement, les incitations du gouvernement français et les réglementations environnementales sont favorables aux entreprises adoptant la sobriété énergétique.
De plus en plus de groupes français travaillent à accélérer leur transition énergétique, à l’image de La Poste, qui en tant qu’entreprise à mission, et dans la lignée de l’Accord de Paris, vise Zéro Emission Nette à horizon 2040.
C’est la raison pour laquelle le groupe s’engage à réduire sa consommation énergétique, et donc l’empreinte carbone de ses activités, notamment celle de son parc immobilier qui exploite 10 000 bâtiments sur 6 millions de m2 via sa foncière La Poste Immobilier. Chaque année, le parc consomme 990 GWH, soit la consommation d’une ville de 300 000 habitants.
Afin de mener à bien cette ambition, La Poste a signé, mardi 12 décembre dernier, un partenariat stratégique de long terme avec EDF. L’accord attribue à plusieurs filiales de l’énergéticien français, réunies en groupement, un marché global de performance portant sur la conception et la mise en œuvre d’un vaste programme de travaux d’efficacité énergétique.
« Au total, le groupe La Poste prévoit d’investir 400 millions d’euros pour améliorer l’empreinte carbone de ses bâtiments, avec pour objectif de réduire leur consommation énergétique de 20% et leurs émissions de CO2 de 35%, d’ici 2030 », précise l’entreprise à mission dans un communiqué.
Dans le détail, le programme prévoit notamment de déployer des systèmes de pilotage de la performance énergétique grâce à un Gestion Technique de Bâtiment (GTB) élargie dans 1 300 sites, ou encore de rénover les systèmes énergétiques (remplacement des chaudière et installation de pompes à chaleur, modernisation du système d’éclairage…) et l’enveloppe du bâtiment (rénovation du bâti et isolation) sur 500 sites.
La Poste compte aussi développer l’autoconsommation en installant des centrales solaires dans 250 sites postaux en toitures et sur ombrières de parkings. La puissance totale photovoltaïque installée atteindra 20 MWC d’ici 2028.
De plus, le groupe, qui possède l’une des plus grandes flottes de véhicules électriques européenne (40% de son parc total), va accélérer la mise en place d’infrastructures de recharge dans ses sites postaux. L’objectif est de fournir des bornes accessibles à ses salariés et clients, mais également au grand public.
Afin de mettre en œuvre le partenariat, un coentreprise sera créée entre La Poste Immobilier, qui détiendra 66% du capital, et EDF, qui en possédera 34%. Elle permettra aux deux acteurs d’unir leurs savoir-faire vis-à-vis de la transition énergétique. La coentreprise gérera le marché global de performance, planifiera les travaux, coordonnera les investissements et les opérations, et sera la garante des objectifs fixés et des indicateurs de performance.
« Enfin, en vue de décarboner ses approvisionnements en électricité, à hauteur de 80 à 120 GWh par an, soit environ 20% de sa consommation électrique, La Poste définira avec l’assistance de la co-entreprise sa stratégie d’achats et la consultation du marché pour la passation des contrats d’énergie long terme (PPA – Power Purchase Agreement) », conclut le groupe La Poste.