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D’accord pour prendre en compte l’engagement RSE dans leurs achats, les consommateurs peinent à avoir confiance. Un « Baromètre de l’engagement des entreprises » (Obsoco et trusteam Finance) publié le 7 septembre semble aller dans ce sens. « Les sondés sont en effet une majorité à affirmer que l'impact environnemental (62%) et social et sociétal (52%) est un critère d'achat important entre des produits concurrents. Si le prix reste, de loin, le premier critère de choix, près d'un quart des personnes interrogées (24 %) indique avoir renoncé à un achat au cours des 12 derniers mois en raison d'une insuffisance de la marque ou de l'enseigne sur le plan environnemental, social ou sociétal » relève un article du journal Le Figaro .
L’enquête d’opinion relève qu’une importante majorité des 2 000 sondés affirment que les entreprises n’en font pas assez dans la lutte contre le réchauffement ou l’implication dans les grands sujets de société. « Plus de huit sur dix (84%) sont même incapables de citer spontanément la moindre entreprise particulièrement engagée. Ils sont malgré tout plus nombreux à observer une évolution positive sur ces sujets : 21% estiment que l'engagement des entreprises a eu tendance à progresser au cours des 12 derniers mois, contre 13 % à penser qu'il a reculé. Les campagnes de communication des entreprises autour de ces problématiques sont par ailleurs jugées peu crédibles par les consommateurs. En effet, 68% sont d'accord avec l'affirmation selon laquelle « les engagements des entreprises en faveur du bien commun (respect de l'environnement, lutte contre le gaspillage, les discriminations ou en faveur du pouvoir d'achat…) ont pour seul objectif d'améliorer leur image » » rapporte le quotidien.
Ce sentiment de méfiance vient en partie du fait que les campagnes marketing empruntent de plus en plus les codes et slogans des associations. Le sondage souligne ainsi que plus les entreprises sont grandes plus la méfiance est importante sur la réalité des engagements.
L’enquête d’opinion relève qu’une importante majorité des 2 000 sondés affirment que les entreprises n’en font pas assez dans la lutte contre le réchauffement ou l’implication dans les grands sujets de société. « Plus de huit sur dix (84%) sont même incapables de citer spontanément la moindre entreprise particulièrement engagée. Ils sont malgré tout plus nombreux à observer une évolution positive sur ces sujets : 21% estiment que l'engagement des entreprises a eu tendance à progresser au cours des 12 derniers mois, contre 13 % à penser qu'il a reculé. Les campagnes de communication des entreprises autour de ces problématiques sont par ailleurs jugées peu crédibles par les consommateurs. En effet, 68% sont d'accord avec l'affirmation selon laquelle « les engagements des entreprises en faveur du bien commun (respect de l'environnement, lutte contre le gaspillage, les discriminations ou en faveur du pouvoir d'achat…) ont pour seul objectif d'améliorer leur image » » rapporte le quotidien.
Ce sentiment de méfiance vient en partie du fait que les campagnes marketing empruntent de plus en plus les codes et slogans des associations. Le sondage souligne ainsi que plus les entreprises sont grandes plus la méfiance est importante sur la réalité des engagements.