Un article en ligne du journal Le Vif explique qu’à cause de la pollution, « et notamment des particules fines, cela ne se vérifie que jusqu'à un certain point que les chercheurs anglais ont pu déterminer précisément. »
Les scientifiques de l'université de Cambridge ont ainsi « comparé la densité moyenne des particules en suspension dans l'air de grandes métropoles avec les données de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) »
L’article explique qu’ils ont alors un « point de bascule », qui « détermine le moment où les bénéfices de l'activité physique sont annulés par les particules polluantes présentes dans l'air. »
Les scientifiques de l'université de Cambridge ont ainsi « comparé la densité moyenne des particules en suspension dans l'air de grandes métropoles avec les données de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) »
L’article explique qu’ils ont alors un « point de bascule », qui « détermine le moment où les bénéfices de l'activité physique sont annulés par les particules polluantes présentes dans l'air. »
La pratique du vélo, pas si bénéfique que ça
Ainsi, l’article assure : « vous pouvez tout de même pédaler jusqu'à 30 minutes dans les rues fortement polluées de Delhi, en Inde, avant d'annuler, voire d'inverser, les bénéfices de la pratique du vélo sur votre santé. »
Toutefois, « toujours selon l'étude, vous pouvez faire environ 960 minutes, donc seize heures, de vélo à New York avant d'y atteindre le ‘tipping point’. »
L’article souligne que « ces données sont valables pour les journées ‘normales’ », car « lors des pics de pollution, ce délai est fortement raccourci. »
Ainsi, par exemple, « lors d'un pic de pollution à Paris, les bienfaits du vélo sur la santé s'annulent après 45 minutes, alors que durant une journée "normale" les cyclistes peuvent rouler jusqu'à 8h avant d'arriver aux mêmes effets. »
La situation à Bruxelles s'apparente à celle de Paris puisqu’en 2012, « la moyenne spatiale annuelle des concentrations de PM 2.5, autrement dit les particules inférieures à 2,5µg/m³, s'élevait à 17,6µg/m³ pour la capitale. »
De plus, « selon l'étude, pour les agglomérations se trouvant entre 17 et 18µg/m³, le "tipping point" est atteint après 480 minutes, soit environ huit heures de vélo. »
Lire l’intégralité de l’article du Vif ici.
Toutefois, « toujours selon l'étude, vous pouvez faire environ 960 minutes, donc seize heures, de vélo à New York avant d'y atteindre le ‘tipping point’. »
L’article souligne que « ces données sont valables pour les journées ‘normales’ », car « lors des pics de pollution, ce délai est fortement raccourci. »
Ainsi, par exemple, « lors d'un pic de pollution à Paris, les bienfaits du vélo sur la santé s'annulent après 45 minutes, alors que durant une journée "normale" les cyclistes peuvent rouler jusqu'à 8h avant d'arriver aux mêmes effets. »
La situation à Bruxelles s'apparente à celle de Paris puisqu’en 2012, « la moyenne spatiale annuelle des concentrations de PM 2.5, autrement dit les particules inférieures à 2,5µg/m³, s'élevait à 17,6µg/m³ pour la capitale. »
De plus, « selon l'étude, pour les agglomérations se trouvant entre 17 et 18µg/m³, le "tipping point" est atteint après 480 minutes, soit environ huit heures de vélo. »
Lire l’intégralité de l’article du Vif ici.