D’ici 2024 le groupe promet de créer mille emplois. Envision, spécialiste sino-japonais de batteries électriques va s’implanter sur le site de Renault à Douai. « «Nous avons obtenu que l'usine» Envision AESC, filiale japonaise du groupe chinois Envision, «s'implante pour un site de production de 9 gigawatts», a précisé Xavier Bertrand, volant la vedette à Emmanuel Macron, qui est attendu lundi à Douai pour le dévoilement officiel du projet, accompagné de trois de ses ministres (Agnès Pannier-Runacher, Gérard Darmanin et Franck Riester). AESC va fabriquer des batteries (environ 150.000 par an dans un premier temps) pour les gammes compactes du Losange et d'autres marques. Immédiatement après l'annonce de Xavier Bertrand, la ministre de l'Industrie Agnès Pannier-Runacher a souligné auprès de l'AFP que ce projet était « intégralement porté par l'État ». «C'est un projet qui a été porté depuis trois ans maintenant par le gouvernement, Bruno Le Maire et moi-même, avec une négociation européenne qui a permis d'obtenir de la Commission européenne de faire de ce sujet une priorité industrielle et de nous autoriser à financer les projets», a souligné la ministre » » compile l’Agence France presse.
C’est aussi une bonne nouvelle pour Renault qui compte beaucoup sur cette usine pour lancer son « ElectriCity » l’année prochaine. « Les batteries, ajoutées à l'assemblage de la Mégane et de la R5 électriques, doivent donner un nouveau souffle aux usines de Douai, Maubeuge et Ruitz, qui tournaient au ralenti. L'Etat devrait accompagner le projet à hauteur de 60 millions d'euros tandis que la région va financer l'opération à hauteur de 35 millions d'euros, a précisé Xavier Bertrand. «Il y a comme perspective de passer à 2.500 emplois en 2030 si la capacité de production passe à 24 gigawatts» dans l'usine d'AESC, a ajouté l'élu, ex-LR » appuie la dépêche.
C’est aussi une bonne nouvelle pour Renault qui compte beaucoup sur cette usine pour lancer son « ElectriCity » l’année prochaine. « Les batteries, ajoutées à l'assemblage de la Mégane et de la R5 électriques, doivent donner un nouveau souffle aux usines de Douai, Maubeuge et Ruitz, qui tournaient au ralenti. L'Etat devrait accompagner le projet à hauteur de 60 millions d'euros tandis que la région va financer l'opération à hauteur de 35 millions d'euros, a précisé Xavier Bertrand. «Il y a comme perspective de passer à 2.500 emplois en 2030 si la capacité de production passe à 24 gigawatts» dans l'usine d'AESC, a ajouté l'élu, ex-LR » appuie la dépêche.