C’est en comprenant sa vulnérabilité face à la corruption qu’une institution, une entreprise ou une organisation peut s’en prémunir. Raison pour laquelle l’annonce du ministère des Armées concernant l’adoption d’un code de prévention dans le domaine est une bonne nouvelle. « Florence Parly, ministre des Armées, a approuvé le code de prévention des atteintes à la probité du ministère présenté par le référent ministériel déontologue, alerte et anticorruption, le contrôleur général des armées Jean Tenneroni. Le ministère des Armées est le premier à se doter d'un tel texte fondamental, indispensable à la mise en place d'un dispositif anticorruption qui s'inscrit dans le Plan national de lutte contre la corruption. Il répond également aux exigences imposées aux grandes entreprises et aux administrations par la Loi Sapin II, en suivant les recommandations de l'Agence Française Anticorruption (AFA) » explique le ministère par communiqué.
Les risques de corruptions sont variés mais répondent à des tendances générales. « Pratique et riche d'exemples concrets, ce code de conduite anticorruption définit et illustre les différents types de comportements à proscrire et vise à guider l'ensemble du personnel, militaire et civil, dans ses activités quotidiennes, en particulier pour les fonctions les plus exposées (commande publique, comptabilité et ressources humaines). S'appuyant sur une cartographie des risques d'atteinte à la probité, il est le fruit d'un travail collaboratif important et inédit, conduit en lien avec les armées, directions et services et le réseau des référents déontologues du ministère » appuie le ministère.
La vocation de ce document est de circuler au sein de l’armée pour que tous les soldats ou fonctionnaires du ministère réalisent qu’ils ont un rôle à jouer pour éviter que des cas de corruption entachent l’institution et gênent son bon fonctionnement. Car au-delà des principes éthiques et légaux, la corruption est un cancer qui a des conséquences sur l’efficacité de l’organisme concerné.
Les risques de corruptions sont variés mais répondent à des tendances générales. « Pratique et riche d'exemples concrets, ce code de conduite anticorruption définit et illustre les différents types de comportements à proscrire et vise à guider l'ensemble du personnel, militaire et civil, dans ses activités quotidiennes, en particulier pour les fonctions les plus exposées (commande publique, comptabilité et ressources humaines). S'appuyant sur une cartographie des risques d'atteinte à la probité, il est le fruit d'un travail collaboratif important et inédit, conduit en lien avec les armées, directions et services et le réseau des référents déontologues du ministère » appuie le ministère.
La vocation de ce document est de circuler au sein de l’armée pour que tous les soldats ou fonctionnaires du ministère réalisent qu’ils ont un rôle à jouer pour éviter que des cas de corruption entachent l’institution et gênent son bon fonctionnement. Car au-delà des principes éthiques et légaux, la corruption est un cancer qui a des conséquences sur l’efficacité de l’organisme concerné.