La Banque mondiale a décidé d’en faire plus pour le financement de la lutte contre le réchauffement climatique. Le 15 janvier, l’organisation a annoncé le lancement du « Plan d’action sur l’adaptation au changement climatique et résilience ». « Ce plan prévoit de porter le soutien financier direct aux mesures d'adaptation à 50 milliards de dollars sur les exercices 2021 à 2025. Soit un niveau de financement de 10 milliards de dollars par an en moyenne qui vient doubler les montants alloués sur la période 2015-2018. Le Groupe de la Banque mondiale s'attachera en outre à expérimenter de nouvelles approches afin d'accroître les financements privés dans ce domaine » précise le communiqué.
Une montée en puissance dans ce domaine précis de l’adaptation que les dirigeants expliquent par l’urgence actuelle. « Avec ce nouveau plan, nous mettons pour la première fois le financement de la résilience climatique sur un pied d'égalité avec nos investissements dans la lutte contre les émissions de CO2 et un avenir décarboné. Si nous le faisons, c'est pour une simple raison : parce que le changement climatique est déjà à l'oeuvre, il faut à la fois agir pour l'atténuer et s'y adapter » commente la directrice générale de la Banque mondiale, Kristalina Georgieva.
L’idée est de soutenir en priorité les populations les plus pauvres et celles qui seront le plus touchées par les conséquences du réchauffement climatique. Parmi les projets dont le financement est déjà prévu, l’organisation met en avant des budgets alloués pour améliorer les prévisions météorologiques qui permettront d’alerter plus tôt de dangers, le développement de systèmes de protection sociale et soutenir les pays concernés pour qu’ils développent des outils de protection financière face au catastrophes naturelles. « Outre le coup d'accélérateur donné aux financements, le nouveau plan d'action aidera les pays à généraliser des approches de gestion systématique des risques climatiques à chaque phase de la planification des politiques et de la définition des investissements, ainsi que de leur mise en œuvre » assure le communiqué.
Une montée en puissance dans ce domaine précis de l’adaptation que les dirigeants expliquent par l’urgence actuelle. « Avec ce nouveau plan, nous mettons pour la première fois le financement de la résilience climatique sur un pied d'égalité avec nos investissements dans la lutte contre les émissions de CO2 et un avenir décarboné. Si nous le faisons, c'est pour une simple raison : parce que le changement climatique est déjà à l'oeuvre, il faut à la fois agir pour l'atténuer et s'y adapter » commente la directrice générale de la Banque mondiale, Kristalina Georgieva.
L’idée est de soutenir en priorité les populations les plus pauvres et celles qui seront le plus touchées par les conséquences du réchauffement climatique. Parmi les projets dont le financement est déjà prévu, l’organisation met en avant des budgets alloués pour améliorer les prévisions météorologiques qui permettront d’alerter plus tôt de dangers, le développement de systèmes de protection sociale et soutenir les pays concernés pour qu’ils développent des outils de protection financière face au catastrophes naturelles. « Outre le coup d'accélérateur donné aux financements, le nouveau plan d'action aidera les pays à généraliser des approches de gestion systématique des risques climatiques à chaque phase de la planification des politiques et de la définition des investissements, ainsi que de leur mise en œuvre » assure le communiqué.