Qui a dit que les entreprises ne pouvaient pas participer à l’effort collectif ? Dans la foulée de l’annonce par le président de la République du lancement d’une initiative de repas peu chers pour les étudiants, c’est au tour de Leclerc de s’engager. Car tandis que le président promet deux repas par jour à un euro chacun, le patron de la chaine de magasins veut mettre en vente des paniers repas au prix défiant toute concurrence. « Invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFM et RMC ce jeudi matin, Michel-Edouard Leclerc, le patron de l'entreprise du même nom, a annoncé le lancement d'un panier-repas à moins de 2 euros pour les étudiants. "Le président de la République a souhaité que les étudiants puissent manger pour pas cher alors que les cantines et les restaurants universitaires sont fermés. Nous avons une offre qui sera lancée bientôt", a annoncé le chef d'entreprise. L'offre en question : "un panier-repas pour les étudiants, qui sera le moins cher de France, à moins de 2 euros sera proposé à partir de fin février" » relaye La Dépêche.
Avec l’offre du ticket U annoncé le 21 janvier par Emmanuel Macron, ce sont des initiatives concrètes pour les étudiants. Car même si les dépenses ont automatiquement baissé du fait de la fermeture des lieux accueillant du public, les loyers et charges fixes demeurent tandis que les petits boulots, eux, ne sont plus disponibles. Une situation difficile voire dramatique pour de nombreux étudiants qui n’ont plus les moyens de se nourrir correctement lorsqu’ils ne bénéficient pas du soutien de leur famille ou des minimas sociaux. Le geste de solidarité de l’enseigne de distribution est donc bien pensée par Leclerc. Prouvant qu’en ces temps difficiles, les entreprises qui s’en sortent peuvent participer à l’effort collectif de façon ingénieuse et utile.
Avec l’offre du ticket U annoncé le 21 janvier par Emmanuel Macron, ce sont des initiatives concrètes pour les étudiants. Car même si les dépenses ont automatiquement baissé du fait de la fermeture des lieux accueillant du public, les loyers et charges fixes demeurent tandis que les petits boulots, eux, ne sont plus disponibles. Une situation difficile voire dramatique pour de nombreux étudiants qui n’ont plus les moyens de se nourrir correctement lorsqu’ils ne bénéficient pas du soutien de leur famille ou des minimas sociaux. Le geste de solidarité de l’enseigne de distribution est donc bien pensée par Leclerc. Prouvant qu’en ces temps difficiles, les entreprises qui s’en sortent peuvent participer à l’effort collectif de façon ingénieuse et utile.