La France fait partie du peloton de tête des pays producteurs de vin bio. En 2010, elle n’atteignait toutefois que la troisième position de ce classement avec un vignoble bio de 50 000 hectares de superficie totale. À titre de comparaison, les vignobles espagnols et italiens, respectivement premier et second du classement, comptaient chacun 57 000 et 52 000 hectares la même année.
En France, c’est notamment la région Languedoc-Roussillon et PACA qui tirent la production de vin bio vers le haut. Ces deux territoires comptent ainsi respectivement quelque 16 500 et 11 200 hectares dédiés à la vigne biologique. Entre 2009 et 2010, la surface totale du vignoble bio français à cru de 28 %, traduisant ainsi l’engouement pour les vins qui en sont tirés.
Produire des vins biologiques n’est pourtant pas une mince en affaire. En 2012 par exemple, les conditions de culture ont été difficiles. La mauvaise météo et les maladies qui se sont abattues sur les vignes ont eu un impact fort sur la production viticole annuelle. Celle-ci n’a ainsi atteint que 42,5 millions d’hectolitres ; elle est donc en recul de 11,5 millions d’hectolitres par rapport à l’année précédente.
La vigne biologique est également plus fragile. Faisant face à des conditions difficiles en 2012, un certain nombre de viticulteurs ont parfois été tentés ou contraints d’abandonner leur prétention biologique en cours de route. Le mildiou qui a ravagé les vignes françaises en 2012 a par exemple incité bon nombre de producteurs à traiter leurs vignes contre la maladie plutôt que de perdre leur récolte.
Malgré ces complications, la croissance du bio se poursuit sereinement. En 2012, la France comptait ainsi plus de 4 600 producteurs de vins bios et un vignoble biologique d’une surface totale de 61 055 hectares, soit 11 000 hectares de plus qu’en 2010. L’engouement pour cette filière ne se dément donc pas comme en témoignait d’ailleurs en 2012 l’investissement d’Angelina Jolie et de Brad Pitt aux côtés de la famille Perrin afin de produire un vin rosé biologique issu du célèbre vignoble du château de Miraval dans le Var.
Le vignoble biologique français se valorise au fil des ans. On ne peut que s’en réjouir, car ce phénomène contribue à populariser des standards agricoles plus respectueux de l’environnement dans une filière importante pour le secteur agroalimentaire français. Il constitue à ce titre l’une des figures de proue de la mobilisation de la France en faveur du développement durable.
En France, c’est notamment la région Languedoc-Roussillon et PACA qui tirent la production de vin bio vers le haut. Ces deux territoires comptent ainsi respectivement quelque 16 500 et 11 200 hectares dédiés à la vigne biologique. Entre 2009 et 2010, la surface totale du vignoble bio français à cru de 28 %, traduisant ainsi l’engouement pour les vins qui en sont tirés.
Produire des vins biologiques n’est pourtant pas une mince en affaire. En 2012 par exemple, les conditions de culture ont été difficiles. La mauvaise météo et les maladies qui se sont abattues sur les vignes ont eu un impact fort sur la production viticole annuelle. Celle-ci n’a ainsi atteint que 42,5 millions d’hectolitres ; elle est donc en recul de 11,5 millions d’hectolitres par rapport à l’année précédente.
La vigne biologique est également plus fragile. Faisant face à des conditions difficiles en 2012, un certain nombre de viticulteurs ont parfois été tentés ou contraints d’abandonner leur prétention biologique en cours de route. Le mildiou qui a ravagé les vignes françaises en 2012 a par exemple incité bon nombre de producteurs à traiter leurs vignes contre la maladie plutôt que de perdre leur récolte.
Malgré ces complications, la croissance du bio se poursuit sereinement. En 2012, la France comptait ainsi plus de 4 600 producteurs de vins bios et un vignoble biologique d’une surface totale de 61 055 hectares, soit 11 000 hectares de plus qu’en 2010. L’engouement pour cette filière ne se dément donc pas comme en témoignait d’ailleurs en 2012 l’investissement d’Angelina Jolie et de Brad Pitt aux côtés de la famille Perrin afin de produire un vin rosé biologique issu du célèbre vignoble du château de Miraval dans le Var.
Le vignoble biologique français se valorise au fil des ans. On ne peut que s’en réjouir, car ce phénomène contribue à populariser des standards agricoles plus respectueux de l’environnement dans une filière importante pour le secteur agroalimentaire français. Il constitue à ce titre l’une des figures de proue de la mobilisation de la France en faveur du développement durable.