Capture d'écran, source France Stratégie
« Le véhicule autonome devient réalité. Ce nouvel objet numérique pourrait à la fois modifier la chaîne de valeur de la filière automobile, susciter de nouveaux modèles économiques et transformer radicalement nos habitudes de mobilité » lit-on sur le site de France Stratégie.
Une note d’analyse de ce service lié au Premier ministre a en effet été publiée. Elle affirme que « Le véhicule autonome semble engagé sur une voie rapide. Depuis des années déjà, les dispositifs d’aide à la conduite préparaient le terrain. Aujourd’hui, la mise au point d’un véhicule entièrement autonome — soit un robot doté de capacités d’analyse et de pilotage sans intervention humaine — devient une perspective crédible à moyen terme. »
Une note d’analyse de ce service lié au Premier ministre a en effet été publiée. Elle affirme que « Le véhicule autonome semble engagé sur une voie rapide. Depuis des années déjà, les dispositifs d’aide à la conduite préparaient le terrain. Aujourd’hui, la mise au point d’un véhicule entièrement autonome — soit un robot doté de capacités d’analyse et de pilotage sans intervention humaine — devient une perspective crédible à moyen terme. »
Le futur dans quatre ans
Ces véhicules, que l’on associé volontiers aux grands classiques de la science fiction, pourraient ainsi commencer leur pénétration dans le marché d’ici quelques années. « Souvent abordé sous l’angle strictement technologique, le véhicule autonome doit aussi se lire comme une manifestation de la transition numérique à l’œuvre dans les transports. On retrouve ici les mêmes facteurs qui ont contribué hier à transformer la téléphonie mobile ou les médias : les effets de réseau jouent à plein, la quête du système d’exploitation fait figure d’enjeu central, des usages innovants laissent présager de nouveaux modèles économiques » analyse France Stratégie.
« La vitesse de déploiement du véhicule autonome n’en demeure pas moins incertaine : elle dépend non seulement de la date de mise au point technique, mais aussi de la pénétration des usages et du renouvellement du parc automobile existant. À titre illustratif, cette note décrit un scénario tendanciel, dans lequel le déploiement est très progressif à partir de 2040 ; et un scénario de rupture où, dès 2020, des véhicules qui ne sont pas encore autonomes mais peuvent le devenir par simple mise à jour logicielle accélèrent la période d’apprentissage et entraînent un déploiement rapide à partir de 2025 » conclue l’article qui résume la note.
Lire ici en intégralité la note d’analyse « la voiture sans chauffeur, bientôt une réalité »
« La vitesse de déploiement du véhicule autonome n’en demeure pas moins incertaine : elle dépend non seulement de la date de mise au point technique, mais aussi de la pénétration des usages et du renouvellement du parc automobile existant. À titre illustratif, cette note décrit un scénario tendanciel, dans lequel le déploiement est très progressif à partir de 2040 ; et un scénario de rupture où, dès 2020, des véhicules qui ne sont pas encore autonomes mais peuvent le devenir par simple mise à jour logicielle accélèrent la période d’apprentissage et entraînent un déploiement rapide à partir de 2025 » conclue l’article qui résume la note.
Lire ici en intégralité la note d’analyse « la voiture sans chauffeur, bientôt une réalité »