Dans un communiqué, Greenpeace souligne que les négociations à l’ONU sur les océans ne sont pas à la hauteur de l’urgence. Certains Etats font pression pour le maintien d’un statu quo avec un mode de gestion qui, jusqu’à présent, n’a fait qu’amener les océans vers l’effondrement. Pire, les états censés être progressistes ne font rien pour briser ce statu quo.
« Il est très décevant de constater que le rythme et l’ambition de cette réunion ne correspondent pas au niveau d’urgence requis pour sauver nos océans et protéger notre planète face à l’urgence climatique et contre la perte massive de biodiversité. Le manque de volonté politique pour un résultat efficace de ces négociations est alarmant, certains pays restant clairement favorables à l’exploitation des océans plutôt qu’à leur protection. Ce n’est pas le statu quo qui va sauver nos océans ni le climat", souligne Edina Ifticène, chargée de campagne Océans.
"C’est pourquoi il est si frustrant de voir les membres de l’ONU tels que les Etats membres de l’Union européenne proposer des solutions insuffisantes qui n’offrent aucun réel changement pour nos océans. Nous nous attendons également à ce que des pays maritimes, tel que la France, deuxième domaine maritime mondial, soit leader dans ces négociations au niveau européen, ce qui n’est malheureusement pas le cas », poursuit-elle.
Désormais, les enjeux sont encore plus importants pour la phase finale des négociations qui aura lieu en 2020. Les responsables mondiaux doivent élaborer un traité international sur les océans qui permette la création de réserves marines protégées : ce traité doit donner le cadre juridique pour que cela soit possible en haute mer.
Afin de saisir cette occasion historique de préserver nos océans pour les générations futures, Greenpeace exhorte les chefs d’État et les ministres à faire de ce traité pour la conservation et la gestion durable de la haute mer, la priorité dans l’agenda international de l’année à venir. La conservation des océans et la restauration des écosystèmes doivent mobiliser la communauté internationale au même titre que la lutte contre le changement climatique. Il est temps que ces négociations sortent de l’ombre et des cercles diplomatiques.
Dans le cadre d’une campagne internationale pour protéger les océans et dénoncer les menaces de plus en plus probantes qui pèsent sur eux, Greenpeace a lancé une expédition en mer d’un an, de l’Arctique à l’Antarctique. Dans ce cadre, le bateau l’Esperanza a quitté Cayenne le 29 août pour une expédition maritime d’un mois au large de la Guyane.
« Il est très décevant de constater que le rythme et l’ambition de cette réunion ne correspondent pas au niveau d’urgence requis pour sauver nos océans et protéger notre planète face à l’urgence climatique et contre la perte massive de biodiversité. Le manque de volonté politique pour un résultat efficace de ces négociations est alarmant, certains pays restant clairement favorables à l’exploitation des océans plutôt qu’à leur protection. Ce n’est pas le statu quo qui va sauver nos océans ni le climat", souligne Edina Ifticène, chargée de campagne Océans.
"C’est pourquoi il est si frustrant de voir les membres de l’ONU tels que les Etats membres de l’Union européenne proposer des solutions insuffisantes qui n’offrent aucun réel changement pour nos océans. Nous nous attendons également à ce que des pays maritimes, tel que la France, deuxième domaine maritime mondial, soit leader dans ces négociations au niveau européen, ce qui n’est malheureusement pas le cas », poursuit-elle.
Désormais, les enjeux sont encore plus importants pour la phase finale des négociations qui aura lieu en 2020. Les responsables mondiaux doivent élaborer un traité international sur les océans qui permette la création de réserves marines protégées : ce traité doit donner le cadre juridique pour que cela soit possible en haute mer.
Afin de saisir cette occasion historique de préserver nos océans pour les générations futures, Greenpeace exhorte les chefs d’État et les ministres à faire de ce traité pour la conservation et la gestion durable de la haute mer, la priorité dans l’agenda international de l’année à venir. La conservation des océans et la restauration des écosystèmes doivent mobiliser la communauté internationale au même titre que la lutte contre le changement climatique. Il est temps que ces négociations sortent de l’ombre et des cercles diplomatiques.
Dans le cadre d’une campagne internationale pour protéger les océans et dénoncer les menaces de plus en plus probantes qui pèsent sur eux, Greenpeace a lancé une expédition en mer d’un an, de l’Arctique à l’Antarctique. Dans ce cadre, le bateau l’Esperanza a quitté Cayenne le 29 août pour une expédition maritime d’un mois au large de la Guyane.