Un article en ligne du journal Le Point, d’après une dépêche AFP, explique les enjeux de cette initiative verte, qui permettrait sur le long terme de remplacer les masques anti-pollution.
« The Plant Bag »
Marnix de Kroon, le chef du projet, explique à l’AFP : « Ce sac permet de filtrer les particules fines et de nettoyer l'air. » En effet, « le sac à dos, intitulé ‘The Plant Bag’, comporte un filtre antipollution à travers lequel l'air est aspiré avant de passer par les racines d'une plante et d'être envoyé, par un système de tuyauteries, vers la bouche du porteur. »
« Le projet n'en est qu'à ses balbutiements mais l'idée a remporté un concours de design organisé aux Pays-Bas. Un prototype est actuellement en construction par ces étudiants de l'université de Delft, dans l'ouest du pays. »
M. De Kroon ajoute « Nous sommes en train de voir quelle sorte de plante fonctionnerait mieux mais l'aloé vera est une possibilité. »
L’article du journal Le Point précise qu’ « un expert de l'institut royal néerlandais de météorologie estime néanmoins qu'un tel design n'est pas très utile car à lui seul, le filtre élimine la très grande majorité des particules fines, rendant la plante inutile. »
Cependant, « Marnix de Kroon insiste : la plante présente dans le sac permettra justement de filtrer les particules fines de toute petite taille. » Il ajoute : « Je ne pense pas qu'en Europe, un tel projet puisse décoller rapidement mais des villes comme Pékin ou Téhéran, des villes qui ont de sérieux problèmes de pollution sont notre premier marché. »
L’article rappelle que « l'alerte rouge à la pollution atmosphérique avait été déclarée en décembre pour la première fois à Pékin pendant trois jours, entraînant des mesures drastiques de restriction de la circulation, des chantiers et de fermeture de milliers d'entreprises. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
« Le projet n'en est qu'à ses balbutiements mais l'idée a remporté un concours de design organisé aux Pays-Bas. Un prototype est actuellement en construction par ces étudiants de l'université de Delft, dans l'ouest du pays. »
M. De Kroon ajoute « Nous sommes en train de voir quelle sorte de plante fonctionnerait mieux mais l'aloé vera est une possibilité. »
L’article du journal Le Point précise qu’ « un expert de l'institut royal néerlandais de météorologie estime néanmoins qu'un tel design n'est pas très utile car à lui seul, le filtre élimine la très grande majorité des particules fines, rendant la plante inutile. »
Cependant, « Marnix de Kroon insiste : la plante présente dans le sac permettra justement de filtrer les particules fines de toute petite taille. » Il ajoute : « Je ne pense pas qu'en Europe, un tel projet puisse décoller rapidement mais des villes comme Pékin ou Téhéran, des villes qui ont de sérieux problèmes de pollution sont notre premier marché. »
L’article rappelle que « l'alerte rouge à la pollution atmosphérique avait été déclarée en décembre pour la première fois à Pékin pendant trois jours, entraînant des mesures drastiques de restriction de la circulation, des chantiers et de fermeture de milliers d'entreprises. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.