Ils disent comme les célébrités qui ont appelé à ne pas manger de viande le lundi, sauf qu’ils sont plus légitimes. Des chercheurs ont publié dans la revue spécialisé The Lancet les grandes lignes d’un régime alimentaire qui est bon pour la santé et respectueux de l’environnement. « Quelle pourrait être une alimentation saine issue d'une production durable capable de nourrir plus de dix milliards de personnes sur terre d'ici 2050? Telle est la question à laquelle 37 scientifiques experts dans toutes sortes de disciplines (santé publique, agriculture, science politique, environnement...) issus de 16 pays tentent de répondre dans un rapport publié ce 17 janvier dans The Lancet, en collaboration avec la fondation EAT qui travaille à la transformation du système alimentaire » a repéré Le Figaro.
La situation est de fait préoccupante avec 2,4 milliards de personnes qui surconsomment quand 820 millions sont sous alimentés. Selon les chercheurs les mauvaises habitudes alimentaires sont un risque plus important pour la santé que l’alcool, le tabac ou les maladies sexuellement transmissibles cumulés. Un constat qui s’ajoute à celui des effets néfastes des nouvelles pratiques alimentaires sur l’environnement. « Si le constat des chercheurs n'est pas complètement nouveau, il confirme ce que beaucoup d'études décrivent et notamment: «qu'un régime riche en plantes, fruits, légumes, noix graines complètes et contenant une plus petite proportion d'aliments d'origine animale confère à la fois des avantages pour la santé et pour l'environnement». Concrètement ils préconisent un doublement d'aliments « sains » et parallèlement une réduction de plus de 50% de la consommation d'aliments «moins sains» tels que les sucres ajoutés et la viande rouge » liste le quotidien français.
Par ailleurs, ils encouragent à manger varié pour que les producteurs agricoles cessent de produire massivement un faible nombre de cultures. Ils soulignent aussi le désastre abominable que représente le gaspillage et exhorte à prendre des mesures pour diminuer de 50% le gaspillage alimentaire.
La situation est de fait préoccupante avec 2,4 milliards de personnes qui surconsomment quand 820 millions sont sous alimentés. Selon les chercheurs les mauvaises habitudes alimentaires sont un risque plus important pour la santé que l’alcool, le tabac ou les maladies sexuellement transmissibles cumulés. Un constat qui s’ajoute à celui des effets néfastes des nouvelles pratiques alimentaires sur l’environnement. « Si le constat des chercheurs n'est pas complètement nouveau, il confirme ce que beaucoup d'études décrivent et notamment: «qu'un régime riche en plantes, fruits, légumes, noix graines complètes et contenant une plus petite proportion d'aliments d'origine animale confère à la fois des avantages pour la santé et pour l'environnement». Concrètement ils préconisent un doublement d'aliments « sains » et parallèlement une réduction de plus de 50% de la consommation d'aliments «moins sains» tels que les sucres ajoutés et la viande rouge » liste le quotidien français.
Par ailleurs, ils encouragent à manger varié pour que les producteurs agricoles cessent de produire massivement un faible nombre de cultures. Ils soulignent aussi le désastre abominable que représente le gaspillage et exhorte à prendre des mesures pour diminuer de 50% le gaspillage alimentaire.