Que les éléments sortent a particulièrement déplu au Giec. Car alors qu’il est prévu pour février 2022, c’est une version provisoire qui a fuité et dont les grandes lignes ont été publiées par l’AFP. « Le Giec, qui ne s’attendait visiblement pas à ce que des passages de ce rapport non-définitif soient publiés, a réagi ce mercredi matin expliquant dans un communiqué que « les projets de rapports sont fournis aux gouvernements et aux réviseurs en tant que documents de travail confidentiels et ne doivent pas être distribués ou cités publiquement. Ceci par respect pour les auteurs et pour leur donner le temps et l’espace nécessaires pour terminer la rédaction avant de rendre le travail public. Pour ces raisons, le GIEC ne fait pas de commentaires sur le contenu des projets de rapports lorsque le travail est encore en cours » » relève Libération .
A en croire l’AFP, le document s’annonce plus alarmiste que les précédents. Avec des projections sur les conséquences du réchauffement climatique d’ici 2050 bien pire qu’auparavant. « Si l’accord de Paris de 2015 engage les signataires à limiter le réchauffement à +2 °C par rapport à l’ère préindustrielle, et si possible à +1,5 °C, le Giec estime désormais que dépasser +1,5 °C pourrait déjà entraîner «progressivement, des conséquences graves, pendant des siècles, et parfois irréversibles». Or, selon l’Organisation météorologique mondiale, la probabilité que ce seuil de +1,5 °C soit dépassé dès 2025 est déjà de… 40 %. Selon les chercheurs, même en limitant la hausse à 2 °C, jusqu’à 80 millions de personnes supplémentaires seront touchées par la malnutrition d’ici à 2050 et 400 millions de plus seront exposés aux pénuries d’eau dans les villes. Dans la prochaine décennie, 130 millions pourraient tomber dans la pauvreté extrême. Sans oublier les centaines de millions de personnes menacées par les canicules extrêmes et les vagues-submersion provoquées par la hausse du niveau de la mer » continue le quotidien.
Le rapport travaille aussi sur les estimations d’impact important sur la biodiversité ou les catastrophes naturelles.
A en croire l’AFP, le document s’annonce plus alarmiste que les précédents. Avec des projections sur les conséquences du réchauffement climatique d’ici 2050 bien pire qu’auparavant. « Si l’accord de Paris de 2015 engage les signataires à limiter le réchauffement à +2 °C par rapport à l’ère préindustrielle, et si possible à +1,5 °C, le Giec estime désormais que dépasser +1,5 °C pourrait déjà entraîner «progressivement, des conséquences graves, pendant des siècles, et parfois irréversibles». Or, selon l’Organisation météorologique mondiale, la probabilité que ce seuil de +1,5 °C soit dépassé dès 2025 est déjà de… 40 %. Selon les chercheurs, même en limitant la hausse à 2 °C, jusqu’à 80 millions de personnes supplémentaires seront touchées par la malnutrition d’ici à 2050 et 400 millions de plus seront exposés aux pénuries d’eau dans les villes. Dans la prochaine décennie, 130 millions pourraient tomber dans la pauvreté extrême. Sans oublier les centaines de millions de personnes menacées par les canicules extrêmes et les vagues-submersion provoquées par la hausse du niveau de la mer » continue le quotidien.
Le rapport travaille aussi sur les estimations d’impact important sur la biodiversité ou les catastrophes naturelles.