Chaque semaine 1,4 millions de personnes dans le monde s’installent en ville. Le chiffre donne le tournis et nous aide à réaliser l’ampleur de l’urbanisation de la planète. Vu des sociétés post-industriels, l’essentiel du mouvement est derrière nous mais d’un point de vue global la réalité est tout autre. Une situation qui est pour beaucoup dans le choix des Nations Unies, par la voix de son secrétaire général, Antonio Guterres, de mettre le paquet sur les villes durables.
La plus haute autorité de l’ONU a profité de la journée mondiale des villes le 31 octobre pour livrer un plaidoyer en ce sens. « Le Programme de développement durable à l'horizon 2030, l'Accord de Paris sur les changements climatiques, le Cadre de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe et le Nouveau Programme pour les villes nous montrent la marche à suivre pour rendre notre monde plus durable et plus résilient. Nos villes et la façon dont elles continueront de se développer influenceront fortement notre aptitude à faire de l'avenir que nous voulons une réalité » a-t-il déclaré dans des propos rapportés par communiqué.
Et de rappeler les enjeux cruciaux de cette situation inédite qui peut mettre « à rude épreuve les capacités des collectivités, les rendant plus vulnérables aux catastrophes dues à l'homme ou à la nature. Mais ces dangers ne sont pas voués à se muer en catastrophes. La solution, c'est de renforcer la résilience, que ce soit face aux tempêtes, aux inondations, aux séismes, aux incendies, aux pandémies ou aux crises financières. »
Parmi les initiatives prometteuses pour transformer les villes vers plus de durabilité, l’homme politique portugais prend les exemples de Bangkok et Quito. Ces deux villes ont mis en place des infrastructures pour réceptionner l’eau afin de lutter contre les inondations et s’assurer de niveaux suffisants pour les périodes de sécheresse. « Avec la participation active de ses habitants, Johannesburg réaménage ses espaces publics, afin qu'ils puissent être utilisés en toute sécurité comme lieux de détente, pour organiser des événements sportifs ou communautaires, ou encore pour proposer divers services tels que des soins médicaux gratuits » ajoute le Secrétaire général.
La plus haute autorité de l’ONU a profité de la journée mondiale des villes le 31 octobre pour livrer un plaidoyer en ce sens. « Le Programme de développement durable à l'horizon 2030, l'Accord de Paris sur les changements climatiques, le Cadre de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe et le Nouveau Programme pour les villes nous montrent la marche à suivre pour rendre notre monde plus durable et plus résilient. Nos villes et la façon dont elles continueront de se développer influenceront fortement notre aptitude à faire de l'avenir que nous voulons une réalité » a-t-il déclaré dans des propos rapportés par communiqué.
Et de rappeler les enjeux cruciaux de cette situation inédite qui peut mettre « à rude épreuve les capacités des collectivités, les rendant plus vulnérables aux catastrophes dues à l'homme ou à la nature. Mais ces dangers ne sont pas voués à se muer en catastrophes. La solution, c'est de renforcer la résilience, que ce soit face aux tempêtes, aux inondations, aux séismes, aux incendies, aux pandémies ou aux crises financières. »
Parmi les initiatives prometteuses pour transformer les villes vers plus de durabilité, l’homme politique portugais prend les exemples de Bangkok et Quito. Ces deux villes ont mis en place des infrastructures pour réceptionner l’eau afin de lutter contre les inondations et s’assurer de niveaux suffisants pour les périodes de sécheresse. « Avec la participation active de ses habitants, Johannesburg réaménage ses espaces publics, afin qu'ils puissent être utilisés en toute sécurité comme lieux de détente, pour organiser des événements sportifs ou communautaires, ou encore pour proposer divers services tels que des soins médicaux gratuits » ajoute le Secrétaire général.