Mardi 18 décembre, le prix du baril chutait. « En clôture de l'Intercontinal Exchange (ICE) de Londres, le Brent abandonnait hier 4,5% à 56,05 dollars le baril, son plus bas niveau depuis mi-octobre 2017. Dans le même temps, le baril de brut léger américain dit WTI pour "West Texas Intermediate" dévissait de près de 6% à 45,91 dollars, touchant ainsi un nouveau plancher qu'il n'avait pas atteint depuis fin août 2017. Lundi, sur le New York Mercantile Exchange, le baril de WTI avait fini sous le seuil symbolique des 50 dollars pour la première fois depuis octobre 2017. Mercredi matin, ces deux références n'enregistraient qu'un maigre rebond par rapport à ces planchers » chroniquait BFM Bourse.
La situation est morose et les pays réunis dans l’Opep ont bien échoué à inverser la tendance. Depuis début octobre les prix ont chuté d’environ 40%. Une situation qui n’a jamais pu être inversé à cause d’indicateurs du secteur stables. « Comme depuis quelques semaines, les cours de l'or noir sont tirés vers le bas par les publications faisant régulièrement état d'une hausse de l'offre de plusieurs pays producteurs alors que, dans le même temps, les craintes sur l'évolution de la croissance mondiale s'épaississent. Car bien que la demande de pétrole soit relativement inélastique, un ralentissement de l'économie se traduirait tout de même par une légère baisse de la demande en énergie ainsi que par la recrudescence de la production de brut dans certains pays » explique l’article.
Les pays de l’Opep ont eu beau déployer beaucoup d’énergie pour se mettre d’accord sur une tendance, leur annonce n’a pas été suffisante pour installer une inversion de la tendance. « De fait, confrontée à une chute quasi-ininterrompue des cours de l'or noir depuis début octobre, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole s'était mise d'accord début décembre avec ses partenaires, y compris la Russie, pour réduire sa production d'environ 1,2 million de barils par jour (mbj) à partir de janvier » lit-on plus loin.
La situation est morose et les pays réunis dans l’Opep ont bien échoué à inverser la tendance. Depuis début octobre les prix ont chuté d’environ 40%. Une situation qui n’a jamais pu être inversé à cause d’indicateurs du secteur stables. « Comme depuis quelques semaines, les cours de l'or noir sont tirés vers le bas par les publications faisant régulièrement état d'une hausse de l'offre de plusieurs pays producteurs alors que, dans le même temps, les craintes sur l'évolution de la croissance mondiale s'épaississent. Car bien que la demande de pétrole soit relativement inélastique, un ralentissement de l'économie se traduirait tout de même par une légère baisse de la demande en énergie ainsi que par la recrudescence de la production de brut dans certains pays » explique l’article.
Les pays de l’Opep ont eu beau déployer beaucoup d’énergie pour se mettre d’accord sur une tendance, leur annonce n’a pas été suffisante pour installer une inversion de la tendance. « De fait, confrontée à une chute quasi-ininterrompue des cours de l'or noir depuis début octobre, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole s'était mise d'accord début décembre avec ses partenaires, y compris la Russie, pour réduire sa production d'environ 1,2 million de barils par jour (mbj) à partir de janvier » lit-on plus loin.