En France, les mal-logés sont de plus en plus nombreux. Et plus vulnérables face à une inflation galopante. C’est la double alerte lancée par la Fondation Abbé-Pierre dans son rapport annuel diffusé le 1er février dernier. Selon l’ONG, 4,15 millions de personnes sont actuellement mal logées dans l’Hexagone. Cette donnée rassemble les personnes sans domicile personnel, vivant dans un lieu beaucoup trop petit pour elles ou sans confort de base (toilettes, cuisine, chauffage…).
La Fondation signale également un « halo » du mal-logement regroupant les Français en situation de fragilité, comme la précarité énergétique ou les impayés de loyers. 12,1 millions de personnes seraient concernées. On y retrouve les familles « appauvries par des niveaux de loyer insoutenables », les personnes ayant froid chez elles, faute de pouvoir allumer le chauffage, celles contraintes de vivre dans un logement étroit ou encore les locataires avec des impayés.
En clair : la France vit une grave crise du logement. Une situation qui s’explique par une offre d’habitations bien en dessous de la demande qui fait mécaniquement augmenter les prix au mètre carré. Cette envolée à des conséquences, puisque « les secteurs géographiques qui étaient déjà chers ont vu leurs prix continuer à s’élever, mais aussi leurs périmètres s’étendre », indique la Fondation Abbé-Pierre.
Cette dernière constate également que les départements comme le Calvados, les Alpes-Maritimes, la Haute-Savoie, la Gironde ou le Rhône « sont devenus inabordables pour une très large frange de ménages, poussant les actifs à s’installer dans les départements voisins et les condamnant à des migrations pendulaires de grande ampleur ».
Comme si cela ne suffisait pas, l’inflation, qui a nettement accéléré en 2022, met à mal les Français en augmentant leurs coûts contraints (logement, alimentation, déplacements…). « Un ménage modeste, une famille monoparentale, ou une personne au RSE, peut vite se retrouver dans le rouge, simplement en s’acquittant de ces dépenses contraintes », signale l’ONG.
Comme les années précédentes, le rapport dénonce l’insuffisance des actions du gouvernement pour rendre le logement abordable. Selon la Fondation, 2022 « a été une année blanche ou presque dans la lutte contre le mal-logement ».
Logement est pourtant un droit fondamental participant à l’accès à d’autres droits comme l’emploi, l’éducation, la santé… Il est même l’un des piliers de la cohésion sociale du pays. En effet, c’est à travers des logements accessibles que la France fait nation, et donnent envie aux femmes et aux hommes qui la composent de vivre ensemble.
Au-delà des pouvoirs publics, d’autres acteurs ont un rôle à jouer pour résoudre cette profonde crise, comme les professionnels de l’immobilier. Certains d’entre eux s’engagent déjà depuis des années à proposer à tous les Français des logements abordables et décents, comme le groupe lyonnais de promotion immobilière ALILA, fondé et présidé par Hervé Legros.
Leader français du logement pour tous, ALILA construit chaque année depuis 2007 des milliers d’habitats de qualité, adaptés aux différents besoins, et accessibles financièrement pour les citoyens les plus fragiles. Le groupe bâtit également des logements intermédiaires sur tout le territoire pour aider les classes moyennes à se loger à des prix raisonnables.
« Chez ALILA, nous construisons pour les habitants, pas pour les investisseurs. C’est ce qui fait toute la différence ! Notre engagement, c’est de transformer l’habitat social en un lieu convivial et humain. Parce que nous sommes convaincus que bien vivre son logement est la première pierre du bien-vivre ensemble », indique Hervé Legros.
La Fondation signale également un « halo » du mal-logement regroupant les Français en situation de fragilité, comme la précarité énergétique ou les impayés de loyers. 12,1 millions de personnes seraient concernées. On y retrouve les familles « appauvries par des niveaux de loyer insoutenables », les personnes ayant froid chez elles, faute de pouvoir allumer le chauffage, celles contraintes de vivre dans un logement étroit ou encore les locataires avec des impayés.
En clair : la France vit une grave crise du logement. Une situation qui s’explique par une offre d’habitations bien en dessous de la demande qui fait mécaniquement augmenter les prix au mètre carré. Cette envolée à des conséquences, puisque « les secteurs géographiques qui étaient déjà chers ont vu leurs prix continuer à s’élever, mais aussi leurs périmètres s’étendre », indique la Fondation Abbé-Pierre.
Cette dernière constate également que les départements comme le Calvados, les Alpes-Maritimes, la Haute-Savoie, la Gironde ou le Rhône « sont devenus inabordables pour une très large frange de ménages, poussant les actifs à s’installer dans les départements voisins et les condamnant à des migrations pendulaires de grande ampleur ».
Comme si cela ne suffisait pas, l’inflation, qui a nettement accéléré en 2022, met à mal les Français en augmentant leurs coûts contraints (logement, alimentation, déplacements…). « Un ménage modeste, une famille monoparentale, ou une personne au RSE, peut vite se retrouver dans le rouge, simplement en s’acquittant de ces dépenses contraintes », signale l’ONG.
Comme les années précédentes, le rapport dénonce l’insuffisance des actions du gouvernement pour rendre le logement abordable. Selon la Fondation, 2022 « a été une année blanche ou presque dans la lutte contre le mal-logement ».
Logement est pourtant un droit fondamental participant à l’accès à d’autres droits comme l’emploi, l’éducation, la santé… Il est même l’un des piliers de la cohésion sociale du pays. En effet, c’est à travers des logements accessibles que la France fait nation, et donnent envie aux femmes et aux hommes qui la composent de vivre ensemble.
Au-delà des pouvoirs publics, d’autres acteurs ont un rôle à jouer pour résoudre cette profonde crise, comme les professionnels de l’immobilier. Certains d’entre eux s’engagent déjà depuis des années à proposer à tous les Français des logements abordables et décents, comme le groupe lyonnais de promotion immobilière ALILA, fondé et présidé par Hervé Legros.
Leader français du logement pour tous, ALILA construit chaque année depuis 2007 des milliers d’habitats de qualité, adaptés aux différents besoins, et accessibles financièrement pour les citoyens les plus fragiles. Le groupe bâtit également des logements intermédiaires sur tout le territoire pour aider les classes moyennes à se loger à des prix raisonnables.
« Chez ALILA, nous construisons pour les habitants, pas pour les investisseurs. C’est ce qui fait toute la différence ! Notre engagement, c’est de transformer l’habitat social en un lieu convivial et humain. Parce que nous sommes convaincus que bien vivre son logement est la première pierre du bien-vivre ensemble », indique Hervé Legros.